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01/01/2019

L’islamisation à visage découvert:

 

 

Ceux qui peuvent en parler, ceux qui doivent se taire...

 

 

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Depuis plusieurs jours, les journalistes Davet et Lhomme sont invités sur tous les plateaux télé et radio pour faire la promotion de leur livre Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert.

 

 

 

Les faits sont là, nombreux, bien décrits. On voit que les interdits religieux conditionnent l’ensemble de la vie quotidienne. On dévoile que des quartiers entiers se ferment dans le communautarisme où l’on mange islam, on s’habille islam, on parle arabe. Dans ces territoires qui ne sont plus la France, on ne se mélange plus aux autres. Les élèves refusent le son des musiques occidentales, ne dessinent plus de visage, n’entrent plus dans des salles au mobilier rouge, n’absorbent que du halal… Les femmes sont reléguées à la place qui est la leur dans le monde islamique. Ces quartiers islamisés sont désormais partout en France, même dans des villes moyennes. Des départements comme la Seine-Saint-Denis font quasiment sécession par rapport au sacro-saint « vivre ensemble »… Tout ça est très bien mené.

 

 

 

Personnellement, je me réjouis que la vérité sur les dangers de l’islamisation de la France soit médiatisée, enfin.

 

 

 

Mais je ne comprends pas. Pourquoi quand deux éminents journalistes parlent de l’islam, ce sont des grands reporters, et pourquoi, quand la « fachoshère » alerte sur des faits similaires, on menace de faire fermer les sites (Jean Jacques Bourdin voulait qu’on interdise le site fdesouche) ? Qui décide, dans les hautes sphères, de qui doit pouvoir parler et qui doit se taire ? Qui décide de ceux qui doivent être considérés comme des héros et ceux qui doivent être désignés comme des salauds ?

 

 

 

 

Alors, certes, suite au travail de terrain de leurs cinq étudiants, Davet et Lhomme glissent les sempiternelles « pas d’amalgames » lors de leurs interviews promotionnelles. Messieurs, vous avez quinze ou vingt ans de retard sur le constat. Pendant toutes ces années, vous n’avez pas vu ou pas voulu voir la réalité. Cette réalité, 35 % des électeurs français s’en préoccupaient à l’élection présidentielle 2017 (sans compter les abstentionnistes)… Allez-vous mettre quinze ou vingt ans de plus pour faire la bonne analyse ? Allez-vous enfin comprendre que le problème est bien plus fort que les « facteurs socio-économiques » des quartiers et qu’il ne se cantonne pas à « l’islamisme radical ». Quand allez-vous comprendre, vous et vos éminents confrères, que les problèmes que pose l’islam, en tant que religion expansionniste, ne pourront jamais être résolus par les politiques conduites et reconduites depuis des décennies ?

 

 

 

Un petit conseil de lecture : lisez le Coran, lisez l’histoire des chrétiens d’Orient et vous aurez les idées plus claires. Souvenez-vous, également, de cette phrase de Youssef al-Qaradâwî, des Frères musulmans, en 2002 : « Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons. »

 

 

 

Réfléchissez encore mais, de grâce, n’attendez pas vingt ans pour comprendre, il sera sans doute trop tard…

 

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11/12/2018

En France, les islamistes ont des complices :

 

 

 

 

 Ceux qui minimisent leur influence

 

 

 
 
 
 
 
 

Ce ne sont pas seulement les islamistes déclarés qui menacent la France, mais tous ceux qui minimisent leur influence dans la société.

 

 

 

Quand on entend le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis n’admettre que du bout des lèvres l’existence de « dérives religieuses extrémistes », pour ajouter qu’il y en a des « islamiques » mais d’autres qui ne le sont pas, on comprend tout de suite qu’on a affaire à un relativiste, qui met toutes les religions sur le même plan. Mais ce relativisme, en laissant entendre que le christianisme ou le judaïsme ont aussi leurs intégristes, banalise les manifestations d’un communautarisme spécifique à l’islam.

 

 

 

On peut comprendre qu’un élu de Seine-Saint-Denis déplore qu’on ne parle que des dérives communautaires, du trafic de drogue, de la violence gratuite ou intéressée, en occultant les réussites des quartiers. Il reste que, si l’on n’a pas conscience que l’islam mêle le temporel et le spirituel, le politique et le religieux – ce qui, précisément, le rend perméable à toutes les dérives sectaires –, on devient malgré soi un complice de l’islamisation progressive de la France.

 

 

Les témoignages recueillis dans l’ouvrage dirigé par deux journalistes du Monde« Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert », sont sans appel. Pour ne pas faire de vagues, on a laissé se développer dans les cités un processus identitaire qui non seulement va à l’encontre de toute intégration – ne parlons pas d’assimilation ! – mais favorise le développement de ghettos revendiqués : les Blancs s’en vont, les Arabes non musulmans ou bien intégrés font de même. Les islamistes peuvent en toute impunité imposer leur loi et leur culture, faire régner une terreur physique et psychologique. Gérard Collomb, peu avant son départ, avait lancé les « quartiers de reconquête républicaine » : c’est plutôt la République qui se fait conquérir.

 

 

 

Ce président du conseil départemental qui, sur France 24, s’offusque de voir des quartiers de son département stigmatisés est un socialiste, qui cultive des préjugés de gauche. Un mélange d’angélisme, d’idéalisme et d’idéologie, une culture de l’excuse qui trouve toujours des explications sociales ou victimaires aux comportements les plus répréhensibles. Se rendent-elles compte, ces bonnes âmes, que leur relativisme revigore l’extrémisme islamique en en minimisant la portée ? Ce ne sont pas seulement les imams fanatiques qui propagent le communautarisme et la haine : ce sont aussi les politiciens qui, par clientélisme, cèdent aux revendications communautaires.

 

 

Notre nouveau ministre de l’Intérieur ne s’est pas débarrassé de ce travers socialiste. Quand il fait un parallèle entre les femmes musulmanes qui portent le voile et le voile que portaient, autrefois, les femmes catholiques pour assister à la messe, se moque-t-il du monde ou se montre-t-il plus stupide qu’il ne l’est ? Il est vrai qu’Alain Juppé, lui aussi, qui n’en rate pas une quand il s’agit d’être dans le vent, avait raconté que sa mère se rendait à la messe avec un foulard et qu’il n’était guère choqué de le voir porté, de nos jours, par les femmes musulmanes.

 

 

Autre signe précurseur de l’islamisation :le ministre aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes aux prochaines élections municipales. Il faut dire qu’il leur a bien préparé le terrain, avec ses amis socialistes et macroniens. Au nom de quoi refuserait-on à des musulmans de se présenter sur des listes communautaristes ? Quand on met le doigt dans l’engrenage, tout le bras risque d’y passer. Il serait temps, pour les pouvoirs publics, de cesser de subir !

 

 

 
 

09:57 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/12/2018

La GPA:

 

 

 

Nouvelle illustration de la théorie de l’aliénation de Marx.

 

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Le domaine des sciences dites « humaines » ou « sociales » est souvent le lieu des pires impostures intellectuelles, une sorte de niche pour faussaires académiques que l’université sécrète et subventionne grassement – même si les soi-disant « chercheurs » ne se trouvent guère assez payés – par la manne publique.

 

 

 

Marlène Jouan fait partie de cette imposante cohorte de fonctionnaires rémunérés pour brasser du vent, du moment que celui-ci souffle dans le sens de l’écriture inclusive, des études de genre et, d’une manière générale, du saint progrès, c’est-à-dire, au sens postmoderne du terme, la meilleure façon de marcher sur la tête. Dans une tribune publiée dans Libération (24 octobre), cette « chercheuse » à l’université Grenoble-Alpes soutient, au milieu d’un sabir jargonnant de sociologue en chambre, cette thèse hallucinante qu’in fine, le fait de « porter » un enfant pourrait objectivement s’analyser comme un travail salarié à part entière.

 

 

 

Au prix d’une argutie gauchie et sophistique, la donzelle ose le rapprochement avec les habituelles tâches domestiques qui, venant doubler les journées épuisantes du couple moyen passant la majeure partie de son temps dans l’entreprise, pèseraient davantage sur les femmes. Il s’ensuivrait alors une assignation des tâches qui serait le fruit d’un déterminisme culturel et historique, lequel conduirait généralement ces dernières – notamment lorsqu’elles sont mères – à occuper, à l’extérieur, des emplois quasiment similaires aux activités domestiques ou ménagères, où l’amour rentrerait si peu en ligne de compte comme ces « métiers peu qualifiés et rémunérés de la dépendance et de l’assistance, de la socialisation et de l’éducation : aides ménagères et assistantes maternelles, auxiliaires de vie, aides-soignantes et infirmières, enseignantes du premier degré, secrétaires ». Les nounous agréées et les institutrices apprécieront cette arbitraire condescendance de classe…

 

 

 

À partir de là – si le lecteur, qui se serait involontairement égaré dans le labyrinthe d’un raisonnement spécieux, ne nous a pas lâché en cours de route –, parce qu’un tel état d’inégalité ne paraît pas « nous plonger dans une grande perplexité morale », « l’auteure » sous-entend que ces professions susdites s’apparenteraient à des travaux d’esclaves d’autant plus dégradants qu’ils seraient encore majoritairement occupés par des femmes.

 

 

 

Dès lors, parce que nous ne serions pas choqués par ces emplois domestiques externalisés, nous ne devrions pas l’être, non plus, s’agissant des « mères porteuses », déplorant que « tel qu’il est posé en France, le débat public sur la GPA n’envisage pourtant pas qu’il puisse s’agir d’un travail ». Aussi, argumente-t-elle de plus fort, « comment ne pas reculer devant la GPA […] si le travail qui suit l’accouchement est déjà une “boîte noire” ou un impensé de la maternité ? » En d’autres termes, il convient de dissocier impérativement la maternité de l’amour maternel, condition sine qua non pour accepter socialement la GPA.

 

 

 

Ce faisant, notre « philosophe » de salon milite pour que la GPA « participe à la nécessité de repenser la question politique du travail, de ses définitions et de ses appropriations », sans voir qu’en défendant une telle position, elle tombe dans le travers dénoncé par Marx de l’aliénation, ici, non pas simplement de la force de travail, mais d’un « produit » humain issu d’une pratique mercantile abusivement qualifiée de travail au prétexte qu’une rétribution « éthique » serait versée à la mère porteuse. Or, volens nolens, avec la GPA, l’embryon, réduit à l’état de chose n’ayant qu’une valeur spécifiquement marchande, se trouve étranger à la vie humaine, à ses contingences et à ses aléas. Il est « désessentialisé » et objectivé, résumé à une consomptible valeur d’échange.

 

 

 

Tels sont les délires appointés sur deniers publics de ces universitaires de gauche ayant l’oreille du pouvoir…

 

 

 
 

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04/12/2018

Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

 

 

 

 

 

 

Une fois de plus, la presse « mainstream », en l’occurrence L’Express, découvre l’eau tiède : nous mangeons halal et casher sans le savoir ! Récemment, les médias se sont alarmés, également, de la montée de revendications religieuses dans les écoles, y compris maternelles ; ils étaient pourtant largement documentés depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques.

 

 

En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde, à titre dérogatoire seulement, la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance halal pour attaquer, devant les tribunaux administratifs, les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs (dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en Justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables.

 

 

 

Nicolas Dhuicq, alors député de l’Aube, avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser, et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher.

 

 

Il faut, d’ailleurs, relativiser le casher, qui représente maintenant moins de 1 % de la viande rituelle et est en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal, c’est la charia ! Mais le « système », en agglomérant les deux, noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence, on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal…

 

 

Cette indication essentielle pour nombre de consommateurs (plus de 70 %) est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam. Sur ce point, on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais, surtout, il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le nôtre (voir, entre autres, l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001).

 

 

 

Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le coq », qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen.

 

 

 

Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont-ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait-il pas, plutôt, la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher, d’ailleurs) plutôt que sa « pureté » rituelle ?

 

 

 

Et, pour conclure, en paraphrasant Ségolène Royal, " l’halalitude n’est-elle pas le prélude à la dhimmitude"?

 

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06/11/2018

Le « désir d’enfant », ce n’est pas écolo…

 

 

 

Sauf si l’on est célibataire ou homo !

 

 

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Joies et hasards de l’actualité… Gabrielle Cluzel nous a pris hier à témoin, avouant sur Boulevard Voltaire : « Je suis égoïste, irréfléchie et j’en suis fière. » En cause, sa nombreuse famille et sa vie de mère épanouie. Une honte, une faute grave à l’égard de nos frères et sœurs souffrants et, surtout, une menace pour la planète, si l’on en croit l’article du Point auquel elle fait allusion : « Faire moins d’enfants, le geste écolo ultime ! »

 

 

 

Le magazine y relaie ce nouveau fait de société : « Par convictions écologiques, des hommes et des femmes du monde entier ont choisi de renoncer à avoir des enfants pour sauver la planète ».Car les enfants sont comme les vaches : ils dégazent abondamment, font leur rototo sans retenue et salissent des couches en quantité. Et la tête pensante de ce mouvement radical (les GINK, pour Green Inclinations, No Kids) nous assène la leçon de cette nouvelle morale : « La maternité devrait être plus réfléchie. Il s’agit d’un choix qui va au-delà d’un besoin personnel égoïste, mais qui doit aussi prendre en compte l’intérêt de tous. »

 

 

Voilà qui est dit et bien dit… et contredit !

 

 

Car, hasard de l’actualité comme dit plus haut, les radios et journaux, ce jeudi matin, nous passaient en boucle l’information du jour : tout comme le gouvernement, le ministre de la Santé Agnès Buzyn et les députés de LREM, l’ordre des médecins vient de se déclarer favorable à la PMA pour toutes. Citoyens, citoyennes, mettez la main à la poche : il va vous falloir rogner encore sur vos frais de santé pour offrir un bébé aux mères célibataires et aux couples d’homosexuelles qui en ont le désir.

 

 

 

Car loin de pointer là un égoïsme sans nul doute réservé aux épouses hétérosexuelles (cf.Gabrielle Cluzel qui devrait se couvrir la tête de cendres), le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie du Conseil national de l’Ordre, le confie au journal La Croix : « Le rôle des médecins est d’apaiser les souffrances, qu’elles soient physiques ou psychologiques. Or, le désir d’enfant est une souffrance et le médecin est là pour l’entendre. »

 

 

 

Selon une démarche où l’hypocrisie confine au grand art, le Dr Faroudja « réfute l’argument des opposants à l’extension de la PMA selon lequel cela équivaudrait à instaurer un droit à l’enfant », nous dit La Croix. Selon le médecin, « on devrait plutôt parler du droit d’accéder à une technique médicale spécialisée ». Subtil…

 

 

 

On voit donc bien ce qui se profile à l’horizon, celui de la révision de la loi de bioéthique, un projet qui sera débattu par le Parlement début 2019. La position du Conseil national de l’ordre des médecins arrive au terme de la consultation publique – les États généraux de la bioéthique – dont les résultats seront connus mardi prochain, 25 septembre. Nul doute qu’ils iront dans le sens de ce grand « progrès sociétal », à savoir la prise en charge, par la Sécurité sociale, de la PMA pour les couples de lesbiennes et les femmes seules.

 

 

 

Toutefois risque alors de se poser un problème pratique : la matière première !

 

 

 

Eh oui, car la méthode, aussi « techniciste » soit-elle, nécessite encore l’intervention d’un mâle via le don de sperme. Et figurez-vous que la denrée se fait rare. Mais pas question de privilégier les couples hétéros pour qui se pose le réel problème médical de l’infertilité : « Il nous semble inacceptable de hiérarchiser les demandeurs. Couples homosexuels, hétérosexuels et femmes seules doivent être traités sur un pied d’égalité. » Ce qui ouvre, ipso facto, la voie royale vers la GPA.

 

 

 

Enfin se pose l’ultime question de « la liberté des médecins ». Leur refus peut toujours être fondé sur « des raisons personnelles », dit le Dr Faroudja, « mais il ne doit jamais reposer sur la seule orientation sexuelle des patients, ce serait contraire aux règles de la déontologie ».

 

 

 

Un conseil, alors : invoquer « le geste écolo ultime » ?

 
 
 
 

 

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