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07/02/2017

Autisme, Dogmes, Mensonges & Utopies !

 

 

 

Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.

 

 

Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.

 

 

La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.

On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.

 

 

Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion

 

 

Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.

 

 

Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?

 

 

Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».

 

 

Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?

 

 

A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?

 

 

Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?

 

 

A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »

 

 

Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti

 

 

On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».

 

 

Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre….

 

 

Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.

 

 

Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent,  se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)….. Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.

 

 

Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !

 

 

On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex

 

 

Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.

 

 

Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité  intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.

 

 

Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré  la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.

 

 

Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.

Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.

 

 

Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.

 

 

Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.

 

 

Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.

 

 

Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.

 

 

La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !

 

 

Pieter KERSTENS.

 

09:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/01/2017

La misère du néoféminisme contemporain:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Adieu Mademoiselle, d’Eugénie Bastié, qui sera en librairies le 8 avril, va faire hurler les féministes. Journaliste au Figaro et rédactrice en chef politique de Limite, la « revue d’écologie intégrale », elle avait accédé à la notoriété en crevant l’écran, en septembre dernier, sur le plateau de Ce soir (ou jamais !), lançant à Jacques Attali : « Le vieux monde est de retour Monsieur Attali ! ».

 

 

 

 

Avec ce premier livre, qui a justement failli s’appeler La Défaite des femmes, la jeune et talentueuse journaliste s’en prend à la « misère du néoféminisme contemporain »et accuse « l’idéologie postmoderne » de travailler « à la défaite des femmes ». La thèse : alors que l’égalité des droits est actée, que le contrôle de la fécondité est acquis, que la parité a été rendue obligatoire, « les nouvelles ayatollettes entendent poursuivre sans fin le combat, et lutter sans relâche pour un monde déjà advenu. Quitte, pour exister, à promouvoir les pires cauchemars d’Orwell ».

 

 

 

 

Selon Eugénie Bastié, les véritables menaces qui pèsent sur les femmes et, plus largement, sur l’humanité tout entière, sont à rechercher du côté des laboratoires de la Silicon Valley, dans le « tapage des Femen », dans le « déni de Cologne », dans les colloques « queer et trans », bref, dans ce mélange de postmodernité politiquement correcte et d’idéologie « transhumaniste » contre lequel s’étaient déjà dressés Eric Letty et Guillaume de Prémare dans leur ouvrage Résistance au meilleur des mondes."

10:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

10/01/2017

Terrorisme: on ne déclare pas la paix !

 

 

 Face au fondamentalisme islamiste, l’hésitation est fatale.

 

 

 

Mathieu Bock-Côté est sociologue, auteur de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007). L'article "musclé" dont voici des extraits est paru initialement dans Le Journal de Montréal et publié par Causeur :

 

 

 

 

"Les attentats qui ont frappé la Belgique provoquent chez certains d’étranges sentiments : ils se disent las, ils voudraient que cela cesse par enchantement et ils en appellent surtout à la venue sur terre de la Paix, à la manière d’un principe rédempteur venant civiliser les hommes et les empêchant de s’entretuer. Ils voudraient qu’on déclare la Paix à l’humanité, et que chacun, inspiré par ce grand élan du cœur, range ses fusils et ses bombes. Quand une bombe saute dans un métro, ils publient sur les réseaux sociaux des symboles de paix et chantent Imagine ou Give Peace a Chance. Il y a peut-être quelque chose de beau dans cette conviction sincère que l’amour nous sauvera. Il y a aussi peut-être une forme de naïveté aussi exaspérante que paralysante.

 

 

 

La paix n’aura pas lieu

 

 

Car en attendant la parousie, en attendant cette sublime délivrance, ce ne sont pas les déclarations de paix qui sauveront les peuples et les protégeront mais la résolution à faire la guerre à un ennemi intérieur et extérieur, l’islam radical, qui s’est décidé quant à lui à humilier et soumettre la civilisation européenne. Devant le fondamentalisme islamiste, ses militants résolus et ses convertis qui sont manifestement attirés par sa fureur guerrière et sa cruauté revendiquée, il faut d’abord compter sur de bons services de renseignement, sur des policiers aguerris, sur des soldats d’expérience, sur des frontières efficaces et sur une ferme volonté de le combattre. En un mot, il faut avoir les moyens de se défendre, de le combattre et de le vaincre.

 

 

La guerre. Pour bien des Occidentaux, c’est un gros mot. Et répondre par la guerre à la guerre, ce serait apparemment une réponse simpliste. Nos bons esprits progressistes qui n’en finissent plus d’admirer leur propre grandeur d’âme voudraient qu’on se penche plutôt vers les racines profondes de l’hostilité entre les hommes et refusent de comprendre, parce que cela offusquerait leurs principes, que la violence est constitutive de l’histoire humaine. On peut la réguler, la contenir, la civiliser même: on ne pourra jamais l’éradiquer et en venir à bout une fois pour toutes.

 

 

 

Nos bons esprits, en un mot, s’imaginent toujours que la réponse militaire à une agression terroriste est une dérive populiste faite pour alimenter les simples d’esprit. Ils souhaiteraient qu’on parle d’exploitation sociale, de lutte à la pauvreté, de dialogue entre les civilisations. Ils s’imaginent que si chacun s’ouvrait à l’Autre, l’humanité se délivrerait des conflits (sans s’imaginer qu’en connaissant mieux l’autre, il se peut qu’on s’en méfie davantage). Ils veulent se réfugier dans la stratosphère des discours généreux et pacifistes pour éviter d’avoir à sortir leurs canons, leurs fusils et leurs blindés. Ils veulent s’extraire du conflit au nom de la conscience universelle  et surplomber les camps en présence. En d’autres mots, ils veulent fuir le réel qui égratigne leurs principes splendides.

 

 

La violence, en quelque sorte, est un fait anthropologique irréductible, et il est sot de croire qu’un jour, les hommes vivront à ce point d’amour qu’il n’y aura plus entre les groupes humains des conflits à ce point profonds qu’ils puissent dégénérer en conflits armés. La guerre est l’expression politique de la violence.[...]

 

 

Entre le fanatisme des enragés d’Allah et le laxisme mollasson de sociétés occidentales, il y a un contraste fascinant et on ne peut que souhaiter que ces agressions à répétition contre des villes et des pays au cœur de la civilisation européenne réveillent leur instinct civique pour l’instant endormi. L’histoire est une source infinie de méditation et de méditations. Ce n’est pas un drapeau blanc qui a stoppé Hitler mais la ferme résolution des alliés à lui faire la guerre pour le vaincre et éradiquer le nazisme. Ce ne sont pas de belles âmes dissertant sur la paix universelle qui ont empêché l’armée rouge d’occuper l’Europe occidentale mais l’armée américaine qui y avait installé ses bases.

 

 

De même, devant l’islamisme, qui bénéficie à la fois de l’appui d’États étrangers et de réseaux bien implantés dans les grandes villes européennes, et qui peut manifestement frapper n’importe quelle cible, qu’elle soit aussi banale qu’une terrasse de café ou stratégique qu’un aéroport, il faudra apprendre à faire la guerre de notre temps. Devant l’ennemi, il faudra moins pleurer et larmoyer qu’être révolté et en colère. Et d’abord et avant tout, il faudra nommer l’ennemi. Non pas « la religion ». Non pas « le fanatisme ». Mais l’islamisme, qui s’est aujourd’hui juré de casser le monde occidental."

 

 

 

09:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/01/2017

La présence islamiste chez nous signe l’échec du sans-frontiérisme:

 

 

                                

 

 

Rongée par le communautarisme, la France n’est plus une nation unitaire.

 

Juriste



 
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« Cette guerre sera longue », déclarait François Hollande le 22 mars. Il disait très exactement la même chose après les attentats du 13 novembre. Pour une fois, le Président ne varie pas. Il a d’ailleurs raison. Nous n’en sommes qu’aux prémices du conflit. La première partie de son raisonnement est donc valable. Que manque-t-il donc à François Hollande pour être à la hauteur des enjeux ? Une volonté stratégique appuyée par des tactiques adaptées. Une stratégie bien pensée doit répondre à un objectif politico-militaire conditionné à la réalité. François Hollande et, avant lui, Nicolas Sarkozy n’ont pas su prendre en compte la réalité dans toute sa complexité.

 


 
Le thème de la restauration des frontières, principalement porté par le Front national, concentre aujourd’hui tous les commentateurs de la vie politique. Oui, il faut restaurer les frontières extra-européennes et rétablir les contrôles aux frontières intra-européennes. La disparition de Schengen sera prochainement actée. Une étape indispensable qui ne saurait pourtant suffire à résoudre intégralement les problématiques posées aux nations occidentales. Si les débat s’attardent souvent sur le retour des frontières traditionnelles, méticuleusement dissoutes par l’idéologie mondialiste, partant du postulat erroné de la fin de l’Histoire, la question des « nouvelles frontières », que l’on pourrait qualifier d’« intimes », n’est jamais discutée. Elle est cependant cruciale, voire centrale.

 


 
En 2005, dépassée par l’ampleur des émeutes des quartiers, pudiquement définis comme « populaires », la classe politique a renoncé à appliquer les lois nationales sur des pans entiers du territoire. Les Zones de non-France ont remplacé les Zones d’éducation prioritaire. L’État a décidé d’officialiser l’existence d’une France hors la France. Nicolas Sarkozy a drastiquement diminué les effectifs de police ; estimait-il qu’il valait mieux qu’ils soient suppléés par une police communautaire autogérée ? Les imams sont devenus les fondés de pouvoir des maires. Gages de stabilité, les religieux sont respectés et écoutés, contrairement aux représentants officiels de l’État.

 


 
Rongée par le communautarisme, la France n’est plus une nation unitaire. Hypocrisie suprême, nos dirigeants continuent à essayer de nous faire croire que la République française ne fait qu’une. Pire : qu’elle est entièrement française. Ce n’est plus le cas. Michel Sapin a eu raison de dénoncer le communautarisme islamiste qui a gangrené la Belgique. Mais pourquoi n’applique-t-il pas son raisonnement à la France ? Des Molenbeek existent dans toutes les grandes agglomérations françaises. En conséquence, il est devenu de plus en plus difficile de distinguer ce qui relève de la politique intérieure de ce qui relève de la politique extérieure. L’État islamique ne répond pas aux critères géopolitiques habituels, il est chez lui en Syrie comme en Europe.

 

 

 

L’islamisme prospère sur nos renoncements : politique d’immigration suicidaire, abandon de l’État, discrimination dite positive, laxisme judiciaire. D’autres difficultés se sont greffées avec le temps. La présence islamiste s’est renforcée et s’est structurée. Business communautaires, cinquième colonne dans certaines institutions (aéroports, police ou armée) et voyoucratie en sont les piliers. Le djihadisme n’est que la crise de croissance de l’islam politique en Europe, son enfant turbulent et impatient. Problème en soi issu d’un problème plus large, la présence de l’islam politique en Europe est la conséquence la plus visible de l’échec de l’utopie sans-frontiériste.

 

 

 

 

 

 

 
 

 

 

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27/12/2016

La radicalisation touche à présent la police:

 

                                       

 

 

 

Pour un tiers, ces policiers sont des femmes : elles affichent des signes extérieurs de religiosité, comme le voile.

 

Ecrivain
 
 
  
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Une note confidentielle, rédigée fin décembre 2015 par la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération, vient d’être révélée par Le Parisien. Elle a dénombré 17 cas de transgression du principe de laïcité entre 2012 et 2015, avec une accélération dès 2014 au sein de la police parisienne, forte de plus de 27.000 policiers et agents de surveillance.

 

 

Les incidents portaient surtout sur l’exercice de la religion musulmane au sein des commissariats, notamment sur les prières quotidiennes (cinq prières chaque jour).

 

La préfecture de police a décidé de recenser, désormais, chaque semaine ces comportements contraires à la laïcité et qui ne peuvent que porter préjudice au bon fonctionnement des forces de l’ordre : refus de protéger une synagogue, chants religieux en patrouille, refus de participer à la minute de silence, etc.

 

 

De ces constatations, il résulte donc que des fonctionnaires (policiers) armés se radicalisent.

 

 

Il s’agit là d’un nombre – limité, certes – de policiers qui se dirigent vers un fondamentalisme musulman.

 

 

Pour un tiers, ces policiers sont des femmes : elles affichent des signes extérieurs de religiosité, comme le voile.

 

 

Il a même été relevé une incitation à commettre des attentats et un appel au meurtre sur Facebook, qui a conduit son auteur devant la justice (quelle a été la sanction ou la condamnation ?).

 

Les dérapages les plus importants se produisent sur les réseaux sociaux.

 

 

Quatre de ces affaires de radicalisation conduisent vers des convertis à l’islam.

 

 

Ces cas recensés concernent des fonctionnaires assez jeunes, entrés comme agent de sécurité au début des années 2000 et qui ont réussi le concours interne.

 

 

Ils ne concernent que des gardiens de la paix ou des brigadiers et, jusqu’à présent, aucun cas n’a été relevé dans les échelons supérieurs.

 

 

Ces policiers savent qu’ils s’exposent à des sanctions et, à terme, à des exclusions.

 

 

Cela semble extrêmement grave et plus que préoccupant car ces policiers ont accès aux fichiers des personnes recherchées (terroristes) et aux renseignements communiqués par les services officiels.

 

 

La chaîne anglaise d’informations Sky News vient d’annoncer la remise de documents indiquant les noms de 22.000 djihadistes, dont certains non identifiés, se trouvant encore en Europe occidentale et, peut-être, en France.

 

 

Nous espérons que les services du ministère de l’Intérieur prennent très au sérieux ces radicalisations qui sont excessivement dangereuses car, si l’on en croit les services concernés, elles sont susceptibles de se poursuivre au cours des prochains mois. Il serait judicieux que la transparence existe également sur les cas de radicalisation dans la gendarmerie nationale et dans l’armée.

 

 

 

 

 

 

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