14/06/2016
Le féminisme:

Une idéologie dépassée !
A l’occasion de la journée de la femme, le collectif des Antigones (mouvement qui "propose un regard féminin pour sortir de l’impasse et considère que la féminité est une arme") publie une tribune dans ’Valeurs actuelles", dans laquelle il met en garde contre la « société kleenex ».
Photo © Antigones/DR
Les combats des femmes d’aujourd’hui ne peuvent être ceux des féministes d’hier : les Antigones entendent sortir de l’impasse idéologique du féminisme conventionnel, système mensonger qui détourne les femmes des enjeux réels de notre société. Notre féminité retrouvée et assumée sera notre arme pour construire le monde de demain !
Sortir de l’impasse féministe est une nécessité et une urgence. Le féminisme conventionnel, dont les mots d’ordre n’ont pas changé depuis les années 1950, est une idéologie dépassée incapable de faire face aux enjeux réels de notre temps. Le féminisme d’autrefois était une force de révolte et de contestation contre des normes aberrantes : nous saluons celles qui ont lutté pour rendre leur dignité sociale aux femmes, en les sortant de l’impasse du XIXe siècle bourgeois. Mais les institutions féministes étant devenues des tentacules étatiques prônant la liberté du producteur-consommateur, il est temps de les dépasser. Pour commencer, abandonnons les combats illusoires.
Refuser les combats illusoires
Les féministes conventionnelles combattent encore et toujours un patriarcat imaginaire, orientant la société vers des débats contre-productifs, sinon dangereux.
Le débat est-il vraiment celui de la parité dans les conseils d’administration ? Ne serait-ce pas plutôt celui d’une redéfinition de notre système économique basé sur l’exploitation illimitée de nos ressources naturelles et humaines ?
Le débat est-il vraiment celui de la taxe tampon ? Ne serait-ce pas plutôt le moment de nous affranchir de la culture du jetable ? Les tampons sont toxiques et à usage unique, une coupe menstruelle se garde dix ans. Quant à la pilule, le débat est-il vraiment celui de la libre disposition de son corps ? Ne s’agirait-il pas plutôt de se reconnecter à son corps, d’apprendre à maîtriser soi-même sa fécondité pour se libérer de cette castration chimique ?
Le débat est-il vraiment celui du partage du temps dans le congé parental ? Ne serait-ce pas plutôt celui de la redéfinition de la place de la famille dans la société ?
Le combat est-il vraiment celui du Madame ou du Mademoiselle quand des femmes sont agressées dans les rues de Cologne ? Le combat est-il vraiment celui de l’ « égalité réelle » quand 80% des travailleurs du dimanche dans les zones touristiques sont des femmes à temps partiel ?
Nous pourrions écrire un livre sur ces faux sujets sur lesquels s’escriment les féministes actuelles ! Ce féminisme déconnecté du réel n’a aucune réponse à apporter aux Françaises. [.....]
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07/06/2016
France : la liberté d’expression des chrétiens, bafouée:
Le site protestant Info Chrétienne s’interrogeait hier sous la plume d’Élisabeth Dugas : « La liberté d’expression sera-t-elle bientôt un “pieux” souvenir pour les chrétiens français ? ». Une interrogation que je partage… Voyez quelques extraits bien sentis de cet article.
◊ Le 28 mai dernier Christine Boutin, ancienne présidente du Parti Chrétien Démocrate, est passée en jugement pour avoir critiqué l’homosexualité. Le verdict est pour le 22 juin.
Chef d’accusation : «Incitation et provocation à la haine et à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur orientation sexuelle».
Qu’a t-elle fait exactement ?
Elle a dit que «l’homosexualité est une abomination». Est-ce une opinion personnelle peu nuancée ?
Non, elle ne faisait que citer la bible (Lévitique chapitre 18, verset 25), à savoir un texte qui est en libre circulation depuis plusieurs millénaires, du moins dans les pays dits démocratiques comme le nôtre. Un verset biblique est donc par définition une citation littéraire.
Va-t-on au tribunal en France et peut-on être condamné juste pour une citation littéraire ?
◊ Le 2 novembre dernier, deux chrétiens [évangéliques] ont été condamnés pour avoir distribué un tract comportant le témoignage d’un jeune qui se disait délivré de l’homosexualité.
Chef d’accusation : « Provocation à la discrimination à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur orientation ou identité sexuelle »
A noter : Ils ont été relaxés de « l’incitation à la haine et à la violence en raison de l’orientation ou identité sexuelle »
Nous n’aurions donc plus le droit de communiquer sur nos convictions ?
◊ Le 29 octobre, un proche de la « Manif pour tous » a été conduit au poste pour « un contrôle d’identité préventif », pendant le passage du cortège présidentiel à Vandœuvre-les-Nancy.
Comme cet homme est un opposant connu au « Mariage pour tous » il a été considéré comme un perturbateur potentiel et évacué préventivement du parcours présidentiel par une dizaine de policiers, d’où son cri de révolte « Hollande dictature ! » « C’est mon interpellation qui a motivé ce cri », souligne t-il. Pour la police, voilà bien la preuve qu’il « était animé d’une intention de nuire ».
Les trois chrétiens jugés ou en cours de jugement le sont pour des faits autorisés dans l’article 10 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Y aurait-il une exception française à l’application de cette convention ?
Mais dans le même temps deux d’entre eux sont ouvertement accusés par leurs détracteurs d’être des intégristes fous et très dangereux, au même titre que des terroristes reconnus !
Et pour finir ce professeur chrétien a juste été interpelé par dix policiers, emmené au poste, fouillé et mis en cellule « préventivement ». Serait-ce du à une mauvaise compréhension de ces deux articles ?
Trouvez LES erreurs… Sommes-nous là en présence de liberté d’expression ou bien de diffamation et d’abus de pouvoir ? Notre démocratie serait-elle en dérive ou en danger ? Je me demande…
09:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2016
Permission de profaner les églises en France: les 8 Femen ayant dégradé une cloche dans Notre-Dame de Paris relaxées
Huit membres du groupuscule féministe Femen qui étaient poursuivis (pour une fois !) pour avoir dégradé une cloche de Notre-Dame de Paris ont été relaxés ce mercredi par la cour d’appel de Paris, qui confirme donc le jugement de première instance du tribunal correctionnel.
Trois surveillants de la cathédrale, qui avaient simplement fait leur travail, ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1.000 euros avec sursis pour des « violences » commises sur trois des harpies lors de leur expulsion de l’édifice !
« Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement du Pape Benoît XVI. Incognito dans le flot des touristes, elles étaient entrées dans l’édifice avant de tomber le manteau pour se jucher sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de Notre-Dame de Paris.
Exhibant leurs seins comme à chacune de leur actions, les Femen avaient crié « Pope no more » (« Plus de pape« ), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois. La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus d’un centimètre sur le dessus de la cloche Marcel (baptisée du nom de Saint-Marcel), recouvert de feuilles d’or. »
Le tribunal a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment d’éléments pour imputer les dégradations sur la cloche aux Femen…
Et l’attentat à la pudeur ? L’« incitation à la haine » ? …
Si quelqu’un avait fait à une mosquée ou une synagogue le quart de ce que ces garces sataniques ont fait dans la cathédrale, il aurait eu les pires ennuis policiers et judiciaires
08:16 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
12/04/2016
L’islamophobie est-elle un délit ?
En France, on a le droit de blâmer tout ou partie d’une religion et il n'existe pas de loi contre le blasphème.
En Grande-Bretagne, une association «antiraciste » Hope a, dans un rapport de 130 pages, publié la liste de tous les islamophobes (particuliers ou organisations) du Royaume-Uni, dans le but de les livrer à la vindicte publique. Si on trouve tous les adversaires habituels de l’islam (c’est de bonne guerre de les clouer au pilori), on a rajouté à cette liste les noms de musulmans dont le seul tort était de refuser d’introduire la charia dans la législation britannique et celui d’islamistes (trop) repentis. Une fidèle du Prophète, pratiquante et voilée, a été retirée de la liste au dernier moment. Elle était montrée du doigt à cause de ses positions un peu trop progressistes.
Examinons les mots : « islamophobe » signifie littéralement « qui a peur de l’islam ». Une partie (majoritaire ?) des Français serait islamophobe car, à cause de quelques déviants, cette religion fait peur à beaucoup, à tort ou à raison.
Dans le sens qui prévaut actuellement, un islamophobe est quelqu’un qui critique l’islam. Or ce n’est pas absolument puni par la loi. En France, on a le droit de blâmer tout ou partie d’une religion et il n’existe pas de loi contre le blasphème.
On peut donc se moquer de « l’Immaculée Conception », trouver stupide le dogme de « l’infaillibilité pontificale », déclarer que la cacherout juive est une contrainte archaïque qui n’a plus de raisons d’être, que le jeûne du ramadan est trop lourd à supporter et que voiler les cheveux d’une femme est une coutume ambiguë. On a le droit de le penser, et de le dire à haute voix. Par contre, bien entendu, il est inadmissible de se moquer d’un fidèle à cause de ses croyances ou des rites qu’il respecte.
Le vrai racisme antimusulman consiste à arracher le voile à une femme dans la rue, à ne pas servir un fidèle de Mahomet dans un magasin, à lui refuser un emploi ou un logement à cause de sa religion. Ce sont des actes graves heureusement sanctionnés par la loi.
Il est temps de restreindre fortement l’usage du terme d’« islamophobe » car, encore une fois, c’est une opinion qui ne tombe pas sous le coup de la loi. On devrait parler, désormais, d’actes antimusulmans lorsqu’il s’agit de délits.
Mais l’islamophobie est le cheval de Troie des islamistes (et de leurs alliés gauchistes). Ils veulent faire passer pour raciste ce qui relève de la liberté d’expression et d’appréciation, afin de faire taire toutes les critiques même minimes contre la religion musulmane. Par petites touches, ils veulent créer une jurisprudence qui leur soit favorable.
Le combat qui vient de s’ouvrir est un combat de longue haleine mais c’est le combat de la liberté contre l’obscurantisme. Et l’exemple anglais prouve que les organisations «antiracistes » sont les pires ennemis de la démocratie.
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05/04/2016
Là où il y a islam, islamisme il y a:
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Le constat est pourtant évident : dans tous les attentats commis sur notre Sol, nous ne trouvons pas d’Italien, pas d’Espagnol, pas de Portugais, pas de Suisse, pas de Belge, pas de Grec, pas d’Allemand, pas d’Autrichien, etc... Pas d’Européens donc ! Les auteurs d'attentats en France depuis 20 ans sont tous des musulmans « Français »… de papier par le hasard du « droit du sol » !n
Jugez-en par vous-même :
Khaled Kelkal 1995, Boualem Bonsai 1995, Karim Boussa 1995, Abdelkader Bouhadjar 1995, Abdelkader Mameri 1995, Main Ait Ali Belkacem 1995, Nasserine Slimani 1995, Rachid Ramda 1995, Safe Bourada 1995, Mohamed Merah 2012, Abdelkarim Dekhar 2013, Mehdi Nemmouche 2014, Bilal Nzohabonayo 2014, Chérif Kouachi 2015, Said Kouachi 2015, Amedy Coulibaly 2015, Sid Ahmed Ghlam 2015, Yassin Salhi 2015, Ayoub El-Khazzani 2015, Ahmad Al Mohammad 2015, Samy Amimour 2015, Omar Ismaïl Mostefaï 2015, Salah Abdeslam 2015, Brahim Abdeslam 2015, Bilal Hadfi 2015… Édifiant, non ?
Mais attention : « Pas d'amalgame ! », comme le vocifèrent haineusement les milieux politiques et médiatiques… ces extrémistes fanatiques du « vivre ensemble ». Une formule qui, dans les faits, se traduit par « vivre comme eux », comme les « nouveaux arrivants ».
Et pourtant là où il y a islam, islamisme il y a car
:
Si TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES
TOUS LES TERRORISTES SONT DES MUSULMANS !n
09:39 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)