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18/10/2016

L’islamisme et/ou la haine de la France s’imposent aux heures de grande écoute à la télévision :

 

 

 

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Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission »qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.

 

 

Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? »en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »

David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.

 

 

Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal »Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative »aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.

 

 

« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?

Face à lui, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.

 

 

10:19 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

27/09/2016

Une église profanée et incendiée à Fontainebleau !

 

 

 

 

 

 

La chapelle Saint-Joseph est l’un des trois endroits qui ont été incendiés volontairement par les auteurs. (photo Le Parisien/Marine Legrand.)

 

 

L’église Saint-Louis à Fontainebleau a été victime d’un incendie important dimanche dernier. Le sinistre est d’origine criminelle avec trois mises à feu en différents points de l’édifice. Il s’est déclaré vers 7 h 15. Immédiatement, plusieurs véhicules de pompier, avec 19 hommes, sont intervenus.

 


L’incendie a touché la chapelle de Franchard où les flammes ont détruit l’autel du XVIe siècle et la statue de Notre-Dame-de-Franchard du XIVe siècle (classée classée monument historique). Un départ de feu a eu lieu également sur quelques fauteuils du chœur de l’église. Enfin, le sinistre a touché la chapelle Saint-Joseph, où plusieurs statues ont été renversées. Des hosties consacrées ont été jetées sur le sol, l’Enfant-Jésus de la crèche dérobé… : une volonté farouche de profanation.

 

 

En France, ce vieux pays chrétien défiguré par deux siècles de République et de laïcisme, voilà où l’on en est !

 


A écouter les gros médias, on se dit que si un édifice religieux brûle en France, ce devrait être une mosquée ou une synagogue. Eh bien, non, en la ville royale de Fontainebleau, c’est une église qui est incendiée et les politiciens en sont gravement complices.

 

 

PS : autre profanation ce dimanche, en forêt de Fontainebleau cette fois. La Croix de Guise, qui mesure 2 x 1 m, a été renversée et tractée sur deux à trois mètres. Un acte « volontaire » selon la police.

 

 

 

11:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/09/2016

Un coin de voile levé sur le dernier tabou : le planning familial:

 

 
 

Un seul mot d’ordre règne depuis près de soixante ans dans la classe politique unanime : le planning, on n’y touche pas.
 
 
 
 
 
 

Président de La Fondation Jérôme Lejeune
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
   

 
 
 
      

Les questions de contraception, d’IVG et de sexualité ont brièvement émergé pour la première fois en France dans la campagne des régionales. Depuis toujours, les différents aventuriers qui tentent d’interroger de manière critique les évolutions de société ou de « mettre le respect de la vie humaine au cœur de la politique » sont éconduits sans ménagements par un gardien du temple à la fois connu et méconnu, mais sourcilleux : le planning familial. Qui s’y frotte s’y pique.

 

 

 

Le planning, c’est la loi et les prophètes de la sphère intime. Souvent l’initiateur de réformes hardies avant d’en être lui-même le plus farouche propagandiste, le planning en est surtout le bénéficiaire puisqu’il en vit. Mais un seul mot d’ordre règne depuis près de soixante ans dans la classe politique unanime : le planning, on n’y touche pas, le planning protège la liberté des femmes, c’est le dernier tabou.

 

 

Or, une candidate a osé émettre l’opinion que les subventions du planning de la région PACA pourraient ne pas être maintenues à leur niveau actuel. C’est historique. Immédiatement, le ciel lui est tombé sur la tête. Et pourtant qu’en est-il exactement ? N’a-t-on pas le droit de savoir ?

 

 

Il suffit de se pencher sur une seule association du Planning familial de la région PACA, celle des Bouches du Rhône, pour être convaincu que quelques questions ne sont pas illégitimes. Sur un total de ressources de 1.354.301 € en 2014, cette association a reçu près de 90 % de subventions publiques en provenance de l’État (ARS, DDCS, FNPEIS, DRDFE, FDVA, INPES, CPCAM, CUCS), du Conseil général, du Conseil régional et des communes. On apprend, en outre, que « des financements exceptionnels ont été accordés afin d’éviter des licenciements et une cessation de paiements ». Mais les charges continuent à augmenter. Et on lit que l’équipe du planning de ce département compte 30 salariés dont une troupe de théâtre de 15 comédiens…

Il y a plus grave. Sur le site de l’association figure un soutien explicite aux femmes voulant avorter mais qui ont dépassé le délai légal de 12 semaines de grossesse. Il est précisé que ces femmes ont encore la possibilité de se rendre dans un autre pays d’Europe où la législation est différente et les délais plus longs, comme l’Espagne, l’Angleterre ou les Pays-Bas, voire les États-Unis (où la réputation du Planned Parenthood n’est plus à faire, avec le scandale de la vente d’organes issus d’avortements). Et ce n’est pas assez, il faut aussi leur donner des moyens financiers. En conséquence, le planning sollicite des dons et délivre même des reçus fiscaux pour soutenir un acte qui est illégal. Car, en France, au-delà de la douzième semaine de grossesse, l’IVG est interdite et le médecin qui la pratiquerait s’expose à des sanctions pénales (jusqu’à 5 ans de prison), civiles et administratives. Dès lors, le financement public, direct ou par déduction fiscale, de l’IVG hors délai s’apparente fort à un détournement de fonds publics.

 

 

Multipliez ces constats par soixante-quinze associations pour avoir une idée de ce que représente le planning à l’échelle nationale : un mouvement qui traite de façon militante dans les écoles, les collèges, les lycées, les universités, etc. non seulement de la contraception et de l’avortement, mais aussi de la bioéthique, de l’homosexualité, du sida, de la laïcité, du féminisme, du genre et des migrants…

 

 

Voir Les Républicains s’approprier ce militantisme d’extrême gauche, fossoyeur de toute reconstruction de la société sur ses fondamentaux, balaye les illusions qu’on peut avoir sur ce parti.

Voir une classe politique quasi unanime faire de l’immoralité un argument électoral pour battre une candidate de 26 ans qui cherche à dissiper le mensonge a quelque chose de crépusculaire.

Voir cette jeune femme se battre seule contre des barbons évoque l’épisode de « Suzanne et les vieillards » qui, rappelons-le, se termine par la condamnation des vieillards.

On peut se réjouir qu’un coin du voile ait été levé sur le dernier tabou par la représentante d’une génération qui survivra aux barbons.

 

 

 

 

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12/08/2016

La révocation de l'édit de Nantes et la liberté d'expression:

 

 

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J'ai vu à la télévision une émission où un groupe de jeunes reprenait les chemins conduisant les Huguenots vers leur exil, par refus de renier leur foi. Le Pasteur qui les accompagnait n'a pu s'empêcher de faire le parallèle avec la situation des sans papiers.

 

 

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La chose m'est parue piquante, quand on connaît l'attitude des instances du protestantisme vis à vis de tout ce qui est fondamentaliste, et aussi en ce qui concerne toute conviction de droite nationale. Il n'y a pas de mots anathématisants assez forts, qui ont pour effet de rejeter, marginaliser, bannir les mal pensant. En caricaturant, il vaut mieux être musulman sans papier, que Français membre du Front National. Doit-on gommer chez Luther ces sermons sur l'usure et la finance apatride, doit-on nier son islamophobie radicale. Nous pouvons affirmer que l'honneur du Pasteur Boegner fut d'avoir tout fait pour sauver des enfants juifs, sans pour autant parler de sa tache indélébile, de n'avoir en tant que Président de la Fédération Protestante protesté sur les assassinats du Pasteur Vesper et de son épouse, enlevés de leur presbytère, amenés dans la garrigue pour être tués d'une balle dans le dos, sans aucune forme de procès, leur seul crime étant d'être Maréchalistes. Oecolampade avait dit à Calvin qu'en brûlant Servet, on n’éradiquait pas une idée mais on assassinait un homme, comme l'a dit Jean Ferrat, faut-il pleurer faut-il en rire je n'ai pas le cœur à le dire.


  
                                  Pasteur Blanchard

 

 

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05/07/2016

Toulouse : une exposition de propagande homosexualiste « vandalisée » par des chrétiens:

 

 

C’est agréable de constater qu’il existe encore un peu de bon sens et de pudeur dans notre pays. Il ne faut rien lâcher et continuer partout ou le bourrage de crâne LGBT sévit.

 

 

Trouvé sur le Figaro : Dans la nuit du 10 au 11 mai, les photographies de l’artiste Olivier Ciappa issues du projet Couples de la République ont été recouvertes d’injures et déchirées. Les auteurs de ces actes de vandalisme ont expliqué «ne pas vouloir la promotion de ce style de vie».

 

 

 

L’artiste Olivier Ciappa se dit «particulièrement inquiet». Dans la nuit de mardi au mercredi, son exposition Couples de la République mettant en scène de nombreuses familles monoparentales, homosexuelles ou en situation de handicap incarnées par des célébrités, Elie Semoun, Mélanie Laurent, Eva Longoria et Jenifer notamment, a été vandalisée dans le centre-ville de Toulouse.

 

 

 

 

 

 

Une grande partie des soixante photos exposées ont ainsi été taguées par des inscriptions à caractère homophobe et déchirées.

 

 

 

Sur place, c’est un passant, Frédéric Reverdy, qui a découvert les dégradations aux alentours de minuit avant de tomber nez à nez sur les auteurs de ces actes de vandalisme. «C’était un groupe de six jeunes âgés de 18 à 20 ans. Ils se revendiquaient catholiques et disaient être ‘contre la promotion de ce mode de vie’, tout en affirmant avoir eux-mêmes un ami homosexuel», nous raconte ce Toulousain.

 

 

«Leur seule réponse, la violence»

 

 

Dès le samedi 7 mai au matin, le jeune homme a alors prévenu l’artiste, porté plainte et alerté la municipalité. En réponse, la mairie de Toulouse a annoncé qu’elle dévoilerait à nouveau d’ici au 9 mai les photos originales tout en laissant en exergue les clichés dégradés.

 

 

 

 

 

 

Pour Olivier Ciappa, qui a déjà été victime de pratiques similaires lors d’une précédente exposition il y a deux ans, la culture ne peut être que la réponse. «Les gens savent que, quand on a des convictions intenses, il n’y a rien de plus fort que l’art. Eux ont pour seule réponse, la violence», martèle-t-il.

 

 

L’ex-ministre de la Santé Roseline Bachelot, avait elle aussi participé à ce projet. Elle a réagi sur Twitter en partageant un message: «À Toulouse, l’expo d’Olivier Ciappa saccagée par des ultras homophobes incultes: honte à eux».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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