Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/02/2015

Homofolie :

 après 20 000 dollars payés par le contribuable anglais pour un changement de sexe, il souhaite revenir en arrière

 

Encore un exemple concret de la folie de nos sociétés contemporaines… Les opérations sont payés à des malades mentaux pour qu’ils croient avoir changé de sexe… A vomir…

 

 

Lu sur journaldemontreal.com : Chelsea Attonley, née Matthew, trouve qu’être une femme est exténuant. Après avoir subi une chirurgie de réattribution sexuelle, qui a coûté près de 20 000$ au système de la santé publique du Royaume-Uni, la transsexuelle veut passer sous le bistouri pour redevenir un homme

 

 

La femme de 30 ans ne supporte plus les talons hauts et le maquillage, rapporte le Daily Mail. Chelsea regrette amèrement sa réassignation sexuelle et demande maintenant la somme de 25 000$ au système de la santé publique du Royaume-Uni pour corriger son erreur.

 

 

Né à Chesterfield, en Angleterre, Matthew adorait se déguiser en femme. À l’âge de 20 ans, il est devenu Miss Malibu, une drag queen aux allures de Katie Price.

 

 

Matthew a souffert d’une dépression lorsqu’un médecin a refusé sa première demande de chirurgie de réattribution sexuelle. Il a heureusement rencontré son idole, Katie Price, dans une boîte de nuit en 2007. Cette dernière lui a donné un second souffle.

 

 

Retour en arrière 

 

 

 

Sept ans plus tard, Chelsea affirme qu’elle ne sera jamais vraiment une femme. Elle demande donc aux contribuables de payer pour de nouvelles interventions. La transsexuelle aimerait subir une réduction mammaire et une reconstruction du pénis. 

 

«Je souffre de dépression et d’anxiété à cause des hormones. J’ai réalisé qu’il serait plus facile de cesser de me battre, et d’accepter le fait que je suis un homme.»

La jeune femme a confié à This Morning qu’elle ne se sent pas coupable de demander l’aide des contribuables pour l’inversion.

 

«Je m’appelle Matthew et je ne veux plus porter un bonnet FF. Je ne peux pas payer l’intervention, alors j’espère que le système de la santé publique m’appuiera. Je ne peux pas travailler puisque je suis trop à l’envers. Je veux mon pénis de nouveau.»

 

Chelsea a déjà reçu des injections de testostérone pour amorcer sa transformation. 

 

 
 
 

 

 

10:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/02/2015

Un jeune Anglais fait fureur en faisant la promotion de la chasteté:

"Phin Lyman n'avait pas imaginé que ses paroles auraient un tel retentissement. Ce jeune Anglais fait la couverture de tous les journaux. La raison: il est vierge et fier de l'être."

 

 

 

 

 

"Qui aurait pensé qu'un jeune apparaîtrait dans tous les journaux du fait de sa décision de rester vierge jusqu'au mariage ? Nos grands-parents n'auraient probablement jamais pu l'imaginer, mais de nos jours c'est devenu quelque chose de peu commun. C'est en tout cas ce que croit The Guardian, un journal anglais qui n'a jamais été très orienté vers les valeurs chrétiennes. La nouvelle a causé un tel engouement que le même journal a publié trois éditions de la même nouvelle, qui a été reproduite par d'autres grands médias britanniques, notamment The Times et The Daily Breast, l'un des plus lus par le public jeune d'Angleterre.

 

 

"Sincèrement, je me demande : quel problème y a-t-il à attendre ? Pourquoi pensons-nous que tout doit être rapide ? Repas rapide, bronzage rapide, sexe rapide." C'est avec ces mots que Phyn Lyman a commencé une lettre ouverte écrite pour The Wellingtonian, une revue publiée dans son école, et qui a eu un si grand impact auprès de ses collègues de cours que les médias ont fait tout leur possible pour en obtenir l'exclusivité.

Curieusement, les statistiques démontrent que Phyn n'est pas seul, et de plus

 

en plus de jeunes en Angleterre choisissent de s'abstenir de relations occasionnelles, et par ailleurs beaucoup ont découvert qu'avoir des relations avec plusieurs personnes ne satisfait pas leurs besoins émotionnels, mais les aggrave.

 

 

Ils sont déjà nombreux, les jeunes à succès qui ont plaidé pour la virginité jusqu'au mariage, reconnaissant que c'est le chemin le plus sûr pour vivre une bonne relation matrimoniale. Nous verrons combien d'autres jeunes se joindront à eux et répondront à cette invitation du Christ et de l’Église."

 

 

10:12 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/01/2015

Retour de l’affaire Piss Christ :

 Placement en détention

 

 

Dans l’affaire Piss Christ, qui date d’il y a presque 4 ans, 4 jeunes gens étaient suspectés d’avoir donné le coup de marteau dans le Piss Christ le 17 avril 2011 à Avignon. La presse locale avait même osé les qualifier de « profanateurs du Piss Christ »…

 

Le Parquet avait engagé une enquête préliminaire qui avait abouti à la garde à vue des quatre garçons, qui avaient tous nié leur participation. A l’issue de leur garde à vue, le parquet d’Avignon leur avait fait notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

 

Devant le tribunal, la Collection Lambert réclamait 400.000 € de dommages-intérêts et frais divers !

 

 

 

 

 

 

 

Le 19 juillet 2012, les avocats (Me Trémolet de Villers, Triomphe, Dassa-Le Deist et Bonneau) ont plaidé devant le tribunal correctionnel d’Avignon et ont fait annuler les poursuites.

Le Procureur avait alors annoncé qu’il allait engager de nouvelles poursuites et un juge d’instruction a été saisi en 2012.

 

 

Or, le 29 décembre 2014, près de 4 ans après les faits, l’un des garçons qui est suspecté d’avoir donné le coup de marteau dans la vitre de protection du Piss Christ, a été mis en examen et immédiatement placé en détention provisoire !

 

 

Un référé-liberté a été déposé dès le lendemain sur le fondement de l’article 187-1 du code de procédure pénale. Le Président de la chambre de l’instruction statuera lui-même le vendredi 23 janvier au plus tard sur cette détention.

 

 
 
 
 
VN:F [1.9.22_1171]
 
 

09:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

02/01/2015

MAIS OU MENENT-ILS NOS ENFANTS ?

 

Depuis plus de quarante ans, les politiques de l’enseignement et les politiques urbaines, qui sont en amont et en aval de l’épine dorsale de nos sociétés, sont inspirées par des idéologies fumeuses et utopiques.
 
 

Des apprentis sorciers, souvent sans visages et sans noms, substituent à la saine analyse historique, à la nécessaire observation des faits et à l’incontournable homogénéité de destin, des mécanismes de mise en condition des peuples qui privilégient la valeur incantatoire des mots pour mieux brouiller les héritages et les repères culturels.

 

 

 


L’entreprise de démolition commence à l’école par la mise en place de projets éducatifs d’inspiration totalitaire. A coup de slogans du type « Ecole de la réussite », « Hétérogénéité obligatoire des classes », « Réussite pour tous » « ABCD de l’égalité » etc.…, des politiciens irresponsables ont camouflé, sous l’angélisme des propositions, la rupture radicale avec la transmission de l’héritage culturel de nos sociétés.

 

 

De la dérive de l’école à la sédition des banlieues et des quartiers sensibles

 

 

L’entreprise de démolition s’est concrétisé dans les politiques urbaines qui ont accouché au travers des « Projets de Ville » et des « Intégrations à marche forcée » (par ailleurs grassement subsidiés), un monde kafkaïen et barbare où le vernis des liftings urbanistiques, ronds-points, nouveaux trottoirs, plateaux et pistes cyclables, camoufle mal les zones de non droit (ZUS & ZSP), les mafias, les caïds et la racaille.

 

Alors, il est temps, grand temps, de stigmatiser les politiques malhonnêtes et suicidaires, car la constatation des mêmes effets pervers ne doit pas se solder, comme c’est le cas, par de nouveaux dérapages vers l’abîme, au son de cantiques lénifiants et creux, mais au contraire par un retour aux valeurs saines et aux politiques responsables. Il faut arrêter ce sabotage de l’Enseignement.

 

Soyons clairs, nous combattons les dérives sectaires dans les écoles, car ces projets fabriquent à la chaîne des individus amnésiques, incapables de jugement, et parfaitement soumis aux pouvoirs totalitaires et à la marchandisation mondialiste. Il faut écouter ceux qui, déjà nombreux, préconisent le retour aux filières et méthodes traditionnelles qui seules assureront la mémoire d’un héritage millénaire.

 

Il faut abandonner les mots d’ordre des quarante dernières années. Non, l’immigration n’est pas une chance pour nos pays ; non, l’intégration ne fonctionne pas pour des masses qui ne partagent aucun de nos principes culturels ; non, l’antiracisme ne facilite pas l’intégration, il génère au contraire un racisme à rebours et l’ostracisme de nos identités ; non, l’Etat providence et l’assistanat ne règlent aucunement tous les problèmes économiques et sociaux, ils les enracinent durablement.

 

Il faut expurger la morale de la culpabilité et avoir le courage de dire :

 

HALTE AUX DELIRES !

 

Pieter KERSTENS.

 

10:06 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/12/2014

MARIAGE GAY:

 Défections dans l’Église luthérienne en Finlande

 

 

 

 

À la suite de la validation, vendredi dernier, par la Parlement finlandais d’une initiative citoyenne autorisant le « mariage » homosexuel, étape préalable au vote d’une loi définitive, de nombreux fidèles de l’Église luthérienne, qui regroupe 75% des finlandais, ont quitté cette Église. Le site internet consacré aux démarches de retrait de cette institution a enregistré près de dix mille requêtes depuis vendredi, dont près de 5 200 pour la seule journée de dimanche.

 

 

Les débats sur cette initiative ont révélé une fracture au sein même de l’Église luthérienne dans ce pays. En effet, l’archevêque Kari Mäkinen déclarait vendredi se « réjouir du fond de (son) cœur » du résultat du vote, tandis que le même jour, un autre haut dirigeant de l’Église luthérienne affirmait que le vote « n’a pas changé l’idée (ecclésiastique) de mariage », qui demeure une union entre une femme et un homme.

 

 

 

10:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)