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04/08/2015

USA : 135 000€ d’amende pour avoir refusé de faire un gâteau:

 

 

 

Un juge de l’Etat américain de l’Oregon vient de condamner un couple de pâtissiers chrétiens à indemniser les deux lesbiennes Rachel and Laurel Bowman-Cryer à hauteur de 135.000 dollars, pour avoir refusé de confectionner leur gâteau de « mariage » en 2014, en raison de ses convictions religieuses.

 

 

Le juge a évoqué les « dégâts émotionnels » causés chez la paire de lesbiennes par ce refus des deux pâtissiers chrétiens. Dans leur plainte, les deux femmes avaient affirmé se sentir « violées mentalement », parmi des 88 symptômes de stress émotionnel qu’elles évoques à cause de ce gâteau refusé…

 

 

Les lesbiennes auraient été « violées mentalement » et réclament 135.000 dollars aux pâtissiers chrétiens

 

 

Au sein de la longue liste des conséquences dramatiques invoquées par les lesbiennes, on note : « perte de confiance », « doutes », « violées mentalement », « sales et honteuses », « haute pression sanguine », « mauvaise digestion », « perte d’appétit », « migraines », « malade après le travail », « reprise de la cigarette », « surprises », « gain de poids », « inquiétude »… Le tout pour un gâteau. Sans compter que la perte d’appétit entraîne rarement un gain de poids, mais cela a semblé échapper au juge.

 

 

Après consultation, le juge Alan McCullough a conclu que les sommes de 75.000 et 60.000 dollars étaient justifiées pour compenser « la souffrance émotionnelle qu’elles ont subie ». Il est le juge administratif pour le bureau du travail et des industries de l’Oregon. Le total atteint donc 135.000 dollars pour les deux femmes.

 

 

Pâtisserie en faillite, en raison des convictions religieuses chrétiennes des propriétaires

 

 

La mise en œuvre de cette décision provoquera automatiquement la faillite de la pâtisserie de la famille Klein, accusée d’homophobie en raison de ses convictions religieuses. Leur avocat a pourtant rappelé qu’une telle amende n’aurait pas seulement un impact sur les fonds professionnels mais également sur les finances personnelles de la famille Klein. « Il est important de se rendre compte de cela » a déclaré l’avocat : « C’est de l’argent réel que Aaron et Melissa vont devoir payer, de l’argent qui aurait servi à payer leur hypothèque et à nourrir leurs enfants. »

 

Personne ne s’est soucié de savoir quel impact « émotionnel » une telle décision pourrait avoir sur la famille Klein bien entendu, une décision pourtant prise en fonction de leurs convictions religieuses les plus profondes, et en conscience…

 

Deux poids, deux mesures.

 

 

Source : Reinformation.tv

 

09:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2015

À quand la légalisation de l’inceste:

 

 

au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend ?

 

 

Notre gouvernement composé de tête creuses n’a décidément rien compris à la notion d’égalité, qu’il confond avec l’égalitarisme. La première considère que toute personne a des droits égaux à une autre, et qu’il n‘est pas possible de les lui refuser sur des motifs purement subjectifs. Par exemple, chaque personne doit être jugée selon la loi, et les exceptions à cette règle ne peuvent procéder que d’une raison objective.

 

 

 

L’égalitarisme, au contraire, refuse toute exception. Au nom d’une égalité des droits pervertie, il propose une égalisation ne tenant aucun compte de la réalité des choses. L’exemple le plus frappant est celui du mariage : le « mariage pour tous » est un slogan génial. Il ne tient pas compte du fait que le mariage était déjà ouvert à tous, sauf aux mineurs (raison objective), à condition de respecter le sens du mot mariage. Au nom de l’égalité des droits, il a fallu changer la définition du mot. À partir de là, on ne conçoit pas que cette institution devenue un simple contrat reconnaissant l’amour entre deux individus ne soit pas ouverte aux personnes de même sexe

 

 

 

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Un autre exemple nous est rappelé par un bon billet de Sophie Coignard sur le site du Point, à propos des allocations familiales. Depuis le 1er juillet, celles-ci sont réduites de moitié pour un couple avec deux enfants qui gagne plus de 6.000 €/mois, et des trois-quarts au-delà de 8.000 €. La mesure est présentée comme procédant du principe d’égalité. Selon ses instigateurs, il apparaît injuste qu’un couple « riche » touche autant d’allocation qu’un couple « pauvre ».

 

 

La notion de justice (sociale) est ici dévoyée. La justice n’est pas l’égalitarisme, c’est l’art de rendre à chacun ce qui lui est dû. La justice considère donc la situation particulière de chacun pour accomplir son objet, quand l’égalitarisme se contente de dire qu’il ne veut pas de tête qui dépasse. En matière d’allocations familiales, le principe est simple : la collectivité compense la charge supplémentaire induite par l’éducation des enfants, en considérant que cette charge pèse sur les familles proportionnellement à leur nombre d’enfants, et que l’accroissement démographique qui en découle lui bénéficie. Cela n’a pas grand-chose à voir avec la redistribution sociale, vers laquelle le système des allocations familiales s’est orienté depuis des années.

 

 

Le principe est le même avec le quotient familial, qui permettait à une famille nombreuse avec 6 enfants de ne pas payer, à revenu égal, les impôts d’un célibataire dont le train de vie est, théoriquement, huit fois plus élevé ! Nos gouvernants successifs n’ont vu dans ce système qu’une manière pour les plus riches d’échapper à l’impôt, et ont tout fait pour y mettre fin. Soit ces gens ont peu d’enfants (il faut du temps pour les élever) soit leurs revenus sont de toutes façons tellement confortables que ces questions bassement matérielles leur échappent…

 

 

Notre gouvernement composé de tête creuses n’a décidément rien compris à la notion d’égalité, qu’il confond avec l’égalitarisme.

 

 

Avec ce genre de raisonnement, on peut envisager de moduler le tarif des péages, ou du stationnement, en fonction de la taille de la voiture. C’et d’ailleurs le cas pour la fameuse taxe CO² qui pénalise les familles nombreuses contraintes de rouler dans des monospaces plus gourmands qu’une Smart de bobo du Marais… Mais on se prive de tout moyen d’interdire des pratiques totalement contraires à la dignité humaine : la PMA et la GPA doivent être autorisées, au nom du droit de chacun à avoir un enfant. Peu importe que cela viole le droit d’un enfant à avoir un père et une mère, et la dignité de la mère porteuse considérée comme une couveuse. Demain, on autorisera l’inceste, au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend. Et pourquoi pas les relations sexuelles avec des mineurs, nubiles ou non.

 

 

Il y a quelques jours, un professeur aveugle a été convoqué pour surveiller les épreuves du Brevet des Collèges. Elle explique « On m’a fait comprendre que c’était une question d’égalité. Que si je n’étais pas convoquée, je pouvais attaquer en justice pour discrimination. C’est tout simplement stupide ! Je ne vais pas attaquer pour quelque chose que je ne peux pas faire. »

On en est là.

 

 

 dans Boulevard Voltaire
 
 
 
 
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09:57 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/07/2015

La Californie oblige les églises à rembourser l’avortement:

 

 

 

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Ces dernières années, l’administration Obama et ses soutiens de gauche faisaient attention à ne pas s’en prendre publiquement à la liberté religieuse, notamment en ce qui concernait les guerres contre le remboursement de l’avortement par l’« Obamacare », ce qui ne les a pas empêché de la piétiner en de multiples occasions. L’atteinte la plus spectaculaire vient de se produire en Californie où les églises ne seront pas exemptées de l’obligation d’inclure le remboursement de l’avortement dans les contrats d’assurance santé proposés à leurs employés.

 

Les églises contraintes à rembourser un« service de santé de base » l’avortement:

 

Le processus totalitaire montre enfin son vrai visage en Californie, dont le département de Santé vient d’ordonner que tous les plans d’assurance santé de l’Etat comportent d’emblée le remboursement de l’avortement, désormais classé parmi les « services de santé de base » obligatoirement remboursés depuis 40 ans par une loi de l’Etat.

 

Aucune église n’est protégée contre cette décision ; elles devront désormais toutes prendre pour leur personnel ou membres des assurances santé comprenant le remboursement de l’avortement.

 

Pas de liberté religieuse pour les églises:

 

La Californie se met ainsi en contradiction avec la récente jurisprudence de la Cour suprême, l’arrêt Hobby Lobby du 30 juin. Cette chaîne de magasins dont le PDG, David Green, est chrétien et finance des organismes à but non lucratif en lien avec la droite chrétienne, avait été parmi les premières à contester l’obligation de participer ainsi à la culture de mort.

 

L’administration s’était mobilisée pour priver cette entreprise des protections liées à la liberté religieuse qu’elle invoquait pour refuser de « couvrir » la contraception dans le nouveau système de sécurité sociale. On le lui avait refusé du fait qu’il s’agissait d’une société commerciale, qu’elle n’était pas une église et que ses déclarations n’étaient pas scientifiques…

 

La Cour suprême a estimé que Hobby Lobby était dans son droit en refusant de rembourser la contraception. Imposer le remboursement de l’« IVG » à des églises n’en apparaît que d’autant plus totalitaire.

 

09:49 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/06/2015

Cuba :

 
 
 
 

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 le régime communiste fait des pressions sur plusieurs pasteurs

 

 

Assist News Service vient de signaler plusieurs manœuvres d’intimidation du régime communiste cubain contre les pasteurs protestants. Le pasteur baptiste Mario Felix Lleonart Barroso, connu pour être un ardent militant de la liberté de culte et de religion, a été arrêté par les services de sécurité communistes le 8 juin dernier. On voulait lui faire signer un Acta de Advertencia (avertissement officiel) pour lui faire reconnaître qu’il fréquentait des « éléments contre-révolutionnaires » – un document qui permettrait une inculpation ultérieure. Le pasteur a refusé de le signer. Huit jours plus tard, le 16 juin, un autre pasteur, Yordanis Santi Perez, était aussi interpellé aux fins de lui faire signer aussi ce document. Le même jour, c’est l’épouse de Mario Felix Lleonart Barroso, Yoaxis Marcheco Suarez, qui a été arrêtée dans la ville de Remedios : on voulait aussi lui faire signer ce même document. Elle a aussi refusé… Christian Solidarity Worldwide (CSW) dénonce ces harcèlements contre les chrétiens et leurs libertés fondamentales.

 

 

Source : Assist News Service

09:40 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

12/06/2015

La théorie du genre :

 

 

 

 le livre que doit lire Najat Vallaud-Belkacem

 

 

 

La ministre de l’Education, qui avait affirmé que « la théorie du genre n’existait pas », vient d’annoncer son plan d’action pour l’égalité entre filles et garçons. Eugénie Bastié lui conseille de lire La théorie du genre, de Bérénice Levet,qui a enquêté sur cette thèse controversée

 

 

 

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« La « théorie du genre », ça n’existe pas ! C’est comme le monstre du Loch Ness, tout le monde en parle, mais personne ne l’a vu ! », déclarait Najat Vallaud Belkacem dans une interview au Point en juin 2013.

 

 

Circulez y a rien à voir ! Quiconque relaye cette « rumeur » ou cette « prétendue théorie du genre » (comme l’écrit l’AFP) est taxé immédiatement d’obscurantiste, d’ufologue ou pire, de crypto-soralien. Les « experts » de la question, renvoient les « braves gens » à leurs hallucinations, se croyant suprêmement malins de faire la distinction entre d’une part les « gender studies », champ universitaire absolument objectif décrivant la part de constructions sociales dans l’altérité homme-femme, et d’autre part une « théorie du genre » fantasmée par les catholiques intégristes.

 

 

Bérenice Levet ne tombe pas dans le panneau et assume le vocable tabou. Son livre La théorie du genre ou le monde rêvé des anges est un véritable ABCD du genre, et probablement ce qu’on a écrit de pus complet sur la question. Dans cet essai de 200 pages, cette docteur en philosophie remonte patiemment, avec érudition et pédagogie, le fil de cette idéologie, du fameux « On ne nait pas femme, on le devient » de Simone de Beauvoir, aux écrits de Judith Butler, papesse américaine du gender, en passant par les expériences du docteur John Money.

 

 

John Money, vous connaissez ? Les partisans du genre n’aiment pas trop qu’on évoque ce cas douloureux. C’est pourtant par lui que tout commence. En 1955, il invente la notion de gender. Il travaille alors sur les enfants hermaphrodites, auxquels il attribue arbitrairement un sexe, d’abord « culturellement », puis chirurgicalement. Le pauvre Bruce en fit les frais : le pénis mutilé par une circoncision raté, Dr Money ordonne à ses parents qu’on l’éduque dès lors comme une fillette, rebaptisé Brenda. Mais à la puberté, quand vient le temps de l’opération chirurgicale censée donner à l’enfant le vagin conforme à sa nouvelle identité, Brenda se rebiffe, et reprend le nom de Bruce, en même temps qu’il (elle ?) tente de retrouver son identité masculine. « Troublé » dans son genre (comme aime à dire Judith Butler, pour qui c’est le summum de la liberté), Bruce finira par se suicider en 2002. Triste épilogue d’une réactualisation du mythe de Prométhée [...]

 

 

La suite sur Le Figarovox

 

 

09:36 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)