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01/08/2014

Enseignement :

 Une charte des programmes ambiguë

 

 

          
 
 
Il est dommage de voir un texte sur l'éducation qui aurait pu être, pour une fois, consensuel être pollué par des visées idéologiques.
 
         

Le Conseil supérieur des programmes vient de se doter d’une « charte des programmes » énonçant les principes qui doivent guider leur élaboration. Dans l’ensemble, il faut saluer ce document, le plus souvent clair, énonçant des principes qui peuvent sembler évidents mais qui n’étaient pas toujours suivis dans le passé. Ainsi, il est posé que les programmes doivent être cohérents, clairs et explicites. Il fixe également les modalités de leur élaboration et leur évaluation. Certains points peuvent cependant s’avérer problématiques.

 

 

Le préambule énonce qu’il ne peut y avoir d’instruction sans éducation. C’est assez vrai pour des matières comme le français, les langues, l’histoire. On aurait aimé, cependant, que soit affirmé le rôle prépondérant des parents dans l’éducation. D’autant que cette charte reprend le concept de compétence et la définit comme un ensemble de « savoirs, mais également savoir-faire ou savoir-être ». Ce dernier est un concept flou qui renvoie au comportement, au caractère, à la personnalité. Peut-il relever d’une école qui ne soit pas un organe de propagande ? À cet égard, on aimerait que la loi précise quelles sont les « valeurs de la République » que l’école doit transmettre, comme le document le rappelle. Pour qu’elles ne soient pas prétextes à des dérives idéologiques.

 

 

L’insistance sur l’usage du numérique est également problématique. Soit on le considère comme une discipline à enseigner nécessairement, comme les mathématiques, mais pourquoi alors en parler dans un document général où ne sont pas précisées les autres disciplines à enseigner ? Soit on en fait un moyen d’enseignement obligatoire, mais cela va à l’encontre alors de la liberté pédagogique, également prônée, et nécessaire du fait des différences entre établissements et élèves. La charte succombe à la pensée magique de l’informatique omnipotente. Mais celle-ci favorise la dispersion, le survol, le zapping quand l’instruction demande la concentration, l’approfondissement, la rigueur.

 

 

C’est que cette charte a dû faire place aux lubies pédagogistes qui se dévoilent particulièrement dans la partie consacrée aux élèves. Il y est dit que les enseignements doivent « faire sens » pour eux. Ce qui peut sembler superfétatoire car que serait un savoir qui n’a pas de sens ? Sauf que ce sens, le plus souvent, n’est perceptible qu’a posteriori, une fois qu’il est acquis. Ce qui demande souvent des exercices d’apprentissage un peu rébarbatifs. Pour avoir le plaisir de jouer Chopin, ne faut-il pas d’abord faire des gammes ? Mais pas ici. « Les programmes, lit-on, doivent permettre aux élèves de prendre plaisir à apprendre. » Que le savoir apporte le plaisir est certain. Mais c’est après un apprentissage qui demande des efforts qu’il est le plus vrai. Exiger le plaisir à toutes les étapes de l’apprentissage ne peut que tromper les élèves et les empêcher d’acquérir ce goût de l’effort qui leur permettrait de se dépasser, pas seulement dans le domaine du savoir, et d’accéder ainsi à une pleine réalisation de soi, à laquelle la charte appelle pourtant.

 

 

Il est dommage de voir un texte sur l’éducation qui aurait pu être, pour une fois, consensuel être pollué par des visées idéologiques.

 

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29/07/2014

Suisse :

 
 

 Un temple vandalisé dans le canton de Neuchâtel

 

 

Le temple de l’Abeille, de l’Église réformée évangélique (EREN), à La Chaux-de-Fonds (canton de Neuchâtel), a été vandalisée dans la nuit de lundi à mardi. Ce serait l’œuvre d’un déséquilibré. Encore un…

 

Des haut-parleurs ont été arrachés, l’orgue est abîmé et les décorations de Pâques sont détruites. Le vandale aurait perdu les pédales. Il a été emmené dans un hôpital psychiatrique. Le culte et le repas prévus pour le Jeudi Saint auront bien lieu mais au temple Farel. Le montant des dégâts n’est pas encore estimé. Les assurances doivent venir sur place, raison pour laquelle le temple n’a pas encore été nettoyé. L’Abeille n’accueille plus de cultes dominicaux depuis quelques années. C’est toutefois une église ouverte deux après-midis par semaine. Une ouverture qui n’est pas remise en question, malgré les événements.

 

Source : RTN

 

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11/07/2014

Familles : métamorphoses

 
 

Le débat sur la famille n’est pas prêt de s’apaiser. Le gouvernement socialiste a en effet besoin de donner des gages à sa gauche – et de promouvoir des lois sociétales que la droite ne contestera pas vraiment, ancrant l’idée d’un Manuel Valls rassembleur.

 

 

 

Le projet de loi APIE (autorité parentale et intérêt de l’enfant), dont le rapporteur est la députée PS Marie-Anne Chapdelaine, prévoit un mandat d’éducation quotidienne, contrat entre l(es) enfant(s), les parents et les beaux-parents ; nous disons “contrat” car le document doit être signé, joli symbole de l’artificialité de la chose, de la judiciarisation de notre société et de l’intrusion de l’État dans la sphère privée. Le projet promet de clarifier la distinction entre décisions usuelles et actes importants, ce qui nous promet surtout soit un texte impossible à mettre en œuvre, soit une “importance” vidée de sa substance. APIE prévoit aussi la double résidence, dans un esprit égalitaire : « Il s’agit de remplacer les termes de “résidence principale” et “droit de visite”, pour que la résidence soit, au regard de la loi, établie à égalité chez les deux parents », explique le député PS Erwann Binet (déjà rapporteur partisan de la loi Taubira).

 

Il y a déjà là matière à sombres réflexions, surtout en considérant la médiation sociale obligatoire à chaque séparation ultérieure des couples… Mais avec le rapport Théry, salué comme il se doit par Erwann Binet (« la société et les familles n’ont jamais attendu le droit pour avancer, pour évoluer, pour s’interroger. Merci infiniment à votre rapport, à votre considérable travail de nous inviter à nous interroger. », intervention lors de la présentation du rapport à l’EHESS, le 9 avril), toutes les inquiétudes sont permises et la nomination de la députée PS Rossignol, idéologue féministe (« Dans les cerveaux de ceux qui ne veulent pas que les enfants voient #tomboy, je vois des choses très laides et pas claires. », tweet du 19 février 2014), comme Secrétaire d’État à la famille devient une préoccupation secondaire.

 

Le rapport Théry défend en effet la transparence totale des origines, moins pour valoriser la procréation naturelle par rapport à l’adoption, la PMA et la GPA que pour instituer une filiation purement sociale : la sociologue ne veut plus singer la nature mais affirmer que le lien biologique n’est rien par rapport au lien social. Il défend bien sûr aussi, et logiquement, l’homoparentalité et la pluriparentalité, le lien social se reconfigurant au fur et à mesure des évolutions de la cellule familiale.

 

Cette obsession sociale, transparente et égalitaire est loin d’être un apaisement, comme le proclame à l’envi Irène Théry et les fervents de son rapport. Ainsi que l’a souligné Thibaud Collin le 19 novembre 2013, lors de son audition par le groupe de travail ayant produit le rapport (cf. libertepolitique.com), si l’on se “libère” de la différence des sexes pour penser la parenté, pourquoi s’arrêter au couple ? Dans sa folie démiurgique, le législateur ne veut considérer que le seul pouvoir de la loi pour instituer le lien, et les seules égalité et liberté des individu comme référent. Mais quelle stabilité promet-il, ou plutôt quelle instabilité n’institue-t-il pas ? Thibaud Collin conclue : « Bref, il me paraît urgent de ne pas aller plus loin dans la décomposition des liens unissant les adultes et les enfants dans notre société. »

 

Le rapport Théry, lui, conclue que « L’ouverture de la famille à l’autre, l’étranger, le différent, n’est plus vue aujourd’hui seulement ou principalement comme un risque pour l’intégrité du groupe, mais aussi comme une chance pour les individus. Une chance de changer, d’ouvrir son futur vers des possibilités inconnues ; une chance aussi de se poser, de s’intégrer, de donner à l’insoutenable légèreté d’un présent sans attaches, le lest de nouveaux enracinements. » S’inventer en permanence, voilà le futur inquiétant et forcément aliénant que nous promettent les apprentis sorciers de la famille.

 

Philippe Mesnard

 

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01/07/2014

« Où trouver l’élément fédérateur de nos actions? Pourquoi nos idées ne mènent-elles pas le monde ? »

Jean Ousset dans les principes fondamentaux de son livre l'Action, explique comment l’unité d’un même esprit, une intelligence pratique de l’action permet de libérer les initiatives à condition de disposer des hommes formés et des outils en fonction des circonstances.

 

« Pour précieuses que soient, en effet, la diversité, la pluralité nécessaire, nous ne pouvons sous-estimer l’importance de l’union et de l’unité…

 

Mais ce fédérateur comment l’imaginer ? Quel peut-il être au degré où désormais se déroule le combat ? Combat national… et, plus que jamais, international ! Combat multiforme : philosophique et paysan ; théologique et professionnel ; culturel ; ouvrier ; familial ; scolaire, etc…

 

Ce qui explique notre scepticisme sur une synchronisation de l’action type : grand chef…

Reste la formule « concertation d’un ensemble de chefs », qui, elle au moins, sauvegarde la souplesse, la variété indispensable. L’ennui est que la formule est fragile, d’une psychologie capricieuse. La concertation pouvant être facile aujourd’hui, impossible le lendemain…

 

On le voit donc, le secret de l’union a peu de chances de se trouver dans la vertu d’une formule matérielle…Ce qui implique une communauté spirituelle, intellectuelle et morale suffisante…

 

Nous croyons, simplement, que l’élément synchronisateur doit être cherché dans l’unité d’un même esprit ! …. Dans l’établissement d’un « consensus »… autour d’un certain style d’action, d’une certaine méthode… Avec la formation que cela implique d’un certain nombre de diffuseurs, d’instructeurs de ce nouveau style d’action.

 

Elite répandue … qui, sachant voir les choses d’assez haut, « pense » l’action avec le constant souci de l’union à réaliser, autant que la diversité à maintenir…

 

Apôtres persuadés qu’ils n’ont besoin d’aucun « mandat », d’aucun « ordre à recevoir », pour faire progresser la vérité, pour se sentir responsables, pour prendre des initiatives…

Action salvatrice d’une vérité cimenteuse pénétrant tout. Car si l’erreur est innombrable et diviseuse, la vérité est une et unifiante. Il s’agit donc moins, ici, d’une proclamation magistrale du vrai que de sa diffusion, de sa libre circulation, de sa profonde pénétration…

 

Il faut que la vérité, mieux diffusée, plus clairement professée devienne la règle de notre jeu. ..  La mauvaise qualité de notre union, comme de notre action, correspond à la mauvaise qualité de notre « consensus » doctrinal.

 

*   *

D’où l’importance de cet élément coordinateur privilégié qu’est : l’action doctrinale, sinon culturelle… Elle ne consiste pas qu’à lancer des idées… elle consiste à les accompagner...

Elle est l’organisation pratique de cette circulation vivifiante, fortifiante de la vérité indispensable en chaque réseau social… Elle a pour but d’offrir à chacun le moyen de décupler la force du moteur de son action en y mettant cet élément de surpuissance… que peut être une intelligence plus pratique de l’action envisagée.

…Sa fin essentielle est la valorisation des activités sociales ou politiques par communications permanentes du surcroît de lumière et de force que ne peut manquer d’apporter, en tout domaine, une intelligence harmonieuse de l’ordre naturel et chrétien.

 

C’est par là qu’elle est, qu’elle peut être, qu’elle doit être – avec la concertation de chefs dont nous avons parlé plus haut – le plus sûr, le plus grand élément de notre unité.

 

[Mais] …s’il est vrai que « les idées mènent le monde », il est plus juste encore de faire observer qu’on ne peut dire cela de toutes les idées. Le plus grand nombre de ces dernières ne mènent rien du tout…

 

Pourquoi tant d’idées ne mènent rien du tout ? Et plus particulièrement les nôtres en ce moment ?

 

… Les idées ne se soutiennent pas par leur simple vertu …elles sont semblables aux meilleurs outils qui n’ont jamais rien accompli et n’accompliront jamais rien si quelque ouvrier ne les meut.

 

Tant qu’une idée, bonne ou mauvaise, ne trouve pas une armée pour la servir, elle reste sans effet.

 

D’où l’importance des hommes.

 

Mais, à leur tour, que peuvent-ils s’ils sont livrés à leur seule force, sans outils, sans méthode de travail ou d’action ?

 

Et que peuvent même les hommes courageux, méthodiques et bien outillés, s’ils refusent de prendre garde aux circonstances de lieu, de temps, etc.

Hommes. Outils. Circonstances.

 

En réalité ces domaines se compénètrent ... leur interaction détermine et déterminera toujours ce qu’il y a de plus important dans l’action.

 

  • D’abord… les hommes, les personnes, les réseaux sociaux. Autrement dit, les agents de l’action, les « agissants », les exécutants.
  • Ensuite… l’instrument, l’outil, les techniques, les méthodes d’action.
  • Enfin… les circonstances, l’événement, les conditions de temps et de lieu ».

 

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Lire et télécharger dans son intégralité le premier chapitre de l'Action de Jean Ousset.

 

Au moment où des français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en œuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

 

Le Salon Beige

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17/06/2014

« On peut guérir de l’autisme ! » (Dr Tinus Smits) – par Laurent Glauzy

Un enfant sur cent naît autiste ! Cette vraie pandémie atteint dans certains États des chiffres alarmants d’un enfant sur quatre-vingt, voire sur cinquante naissances. L’autisme est un désordre neurologique du développement. Considéré comme « incurable » par la médecine allopathique et conventionnelle, elle plonge les parents dans le plus grand désarroi.

Tinus Smits, médecin néerlandais, décédé en 2010 à l’âge de soixante-sept ans, est l’auteur du livre Autisme is te genezen (l’autisme est à guérir) publié en italien sous le titre Autismo, oltre la disperazione (Autisme, au-delà désespoir) et en anglais, Autism, beyond despair. Cet ouvrage, qui contredit toutes les affirmations de la médecine traditionnelle à la solde des laboratoires et des puissances financières, au plus grand mépris de la santé, n’a pas été traduit en français. Pourtant, les explications du Dr Tinus Smits qui fonde son argumentation sur le traitement de plus de trois cents patients atteints d’autisme constitue un réel espoir. Ce médecin spécialisé dans l’homéopathie, parle sans demi-terme de guérison.

Le présent article est un entretien posthume réalisé à partir du best-seller du Dr Tinus Smits Autisme is te genezen et du site officiel géré par des collègues médecins qui, encore aujourd’hui, défendent et s’inspirent de ses travaux (cease-therapy.com), constituant une réelle voie d’espoir.

 

Cher Dr Tinus Smits, quand s’est manifesté votre intérêt pour l’autisme ?

Mon intérêt pour l’autisme est venu de la première expérience de désintoxication des enfants, victimes des vaccins. J’ai constaté que les enfants autistes souffraient de troubles de l’attention. Ils font preuve d’hyperactivité, d’altérations de l’humeur et d’agressivité. En désintoxiquant l’organisme des vaccins reçus, on obtient une guérison complète.

Quelles sont les causes de l’autisme ?

J’ai rejoint cette conclusion après avoir utilisé la thérapie homéopathique C.E.A.S.E. sur des cas d’autisme de différents niveaux de gravité. Mon espérance m’a porté à déduire que l’autisme est une pathologie multifactorielle, imputable à 70 % aux vaccins, à 25 % à l’administration de médicaments ou d’autres substances toxiques, surtout durant la grossesse. Ce n’est que dans 5 % des cas que ce trouble est engendré par des pathologies organiques.

L’autisme est déterminé par une accumulation de différentes substances toxiques, mais aussi par des traumatismes. Je dirai qu’il ne résulte pas d’un dommage permanent du tissu cérébral. Il s’agit seulement d’un blocage qui rend impossible le fonctionnement normal et correct du cerveau. Ce n’est pas une pathologie physique, mais une pathologie du déséquilibre du fonctionnement cérébral normal et réversible !

Vous avez parlé de la thérapie CEASE : qu’est-ce que cela signifie exactement ?

Littéralement, la thérapie C.E.A.S.E. (Complete Elimination of Autistic Spectrum Expression) signifie « Élimination complète des expressions du spectre autistique ». Quand une substance chimique et toxique est suspectée d’être la cause principale du développement de troubles autistiques, cette thérapie consiste à employer ce même produit en dilution homéopathique.

Si la cause de l’autisme a été, par exemple, la vaccination trivalente contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, administreriez-vous alors à un bébé le vaccin du R.O.R. en dose homéopathique ?

Exactement. Cette méthode est connue en homéopathie sous le terme d’isothérapie. L’isothérapie est une nouvelle technique, qui consiste à utiliser la substance - rendue homéopathique grâce des procédés spécifiques de dilution et de succussion - ayant causé un dommage toxicologique. Pour comprendre comment agit la désintoxication, nous devons considérer que les maladies ne sont pas seulement provoquées par des substances bactériennes ou virales, comme se borne à le croire la médecine conventionnelle. En fait, chaque substance peut laisser une empreinte dans le champ énergétique d’une personne.

En pratique, le produit isothérapique annulera l’empreinte énergétique de la substance qui a causé le dommage ?

Absolument. Une fois la substance énergétique annulée, la guérison se produit spontanément. À ce stade de nos recherches, nous affirmons que cette substance énergétique peut dériver d’un dommage direct et physique de la personne dû à un vaccin, à une maladie, à des traumatismes émotionnels, etc. Cette substance peut également avoir été transmise au fœtus par les parents. Voilà pourquoi il est très important que les femmes enceintes aient une bonne hygiène de vie.

Quelles sont les doses homéopathiques utilisées dans l’Isothérapie ?

Si nous suspectons que les dommages sont dus à un vaccin, un médicament ou une substance chimique spécifique, nous pouvons administrer le vaccin, le médicament ou la substance chimique incriminée aux doses de 30ch, voire de 200ch.

Comment faites-vous pour savoir si le remède administré est correct ?

Il est important d’observer les réactions de l’enfant. Si les dommages sont effectivement dus à un vaccin ou à un médicament, il aura des réactions significatives au traitement. L’enfant manifestera les mêmes symptômes qu’il a eus quand il a reçu ce vaccin ou ce médicament pour la première fois. Il peut avoir une sécrétion muqueuse du nez, des oreilles ou de la gorge, mais aussi des diarrhées, des urines troubles et des odeurs désagréables, des éruptions cutanées et de la fièvre. Ces éliminations très importantes ne doivent jamais être supprimées, parce qu’elles font partie du processus fondamental d’élimination toxique et de guérison.

Que peut-on conseiller aux personnes qui lisent cet article ?

Afin d’éviter les risques d’autisme, il est nécessaire d’éviter tous les médicaments durant la grossesse et dans les deux premières années de la vie de l’enfant. Le fœtus et le nouveau-né ne sont pas en mesure de métaboliser de manière adéquate les substances toxiques. C’est pourquoi les enfants ne devraient pas être vaccinés, surtout durant les premières années. Il faut aussi veiller à ce que l’enfant grandisse dans un environnement aussi sain que possible.

Une alimentation saine est également essentielle ?

Une alimentation saine apportera les acides gras polyinsaturés (Omega-3 et Omega-6) qui jouent un rôle fondamental dans la formation et le bon fonctionnement du cerveau et du développement émotionnel normal. Toutes les substances toxiques comme le gluten et le sucre multiplient par trois l’insuline produite par le pancréas, et déclenchent un phénomène de dépendance amenant à une plus grande consommation de nourriture. Le sucre raffiné génère cet état de dépendance.

Comment expliquer les réels dangers du sucre raffiné ?

Dans les années 1900, en moyenne, chaque personne consommait un kilogramme de sucre. Aujourd’hui, ce comportement alimentaire a été bouleversé : chaque personne consomme en moyenne soixante-dix kilogrammes de sucre raffiné par an. Tous les nouveau-nés autistes, ayant des problèmes de comportement, les enfants agressifs, etc., devraient éliminer entièrement le sucre de leur régime alimentaire. Le sucre que le corps digère bien est le glucose. Le saccharose par exemple n’est pas absorbé par l’intestin. L’équilibre des bactéries indispensables de l’appareil digestif est ainsi gravement altéré. Ces bactéries, qui se nourrissent de sucre raffiné, entrent en masse dans l’intestin et causent des irritations intestinales et la production de mucus et de diarrhées.

Qu’est ce que la métallothionéine?

Cette protéine représente notre première ligne de défense contre les métaux lourds. Elle est présente dans la bouche, l’estomac et surtout dans l’intestin. Quand elle est présente en quantité suffisante dans l’intestin, les métaux lourds comme le mercure, l’aluminium et le plomb se lient à cette protéine en les échangeant contre des ions de zinc. En effet, les enzymes qui métabolisent la caséine et le gluten ont besoin du zinc pour leur fonctionnement. C’est pourquoi une carence en métallothionéine entraînera de facto une carence de l’enzyme permettant de décomposer la caséine et le gluten. Si la métallothionéine ne fonctionne pas, à cause d’un manque de zinc, le mercure, le plomb ou l’aluminium et autres métaux lourds finissent dans le sang et dans le cerveau. De plus, la métallothionéine protège contre les infections intestinales observées chez les nouveau-nés autistes. D’après l’Institut Pfeiffer, le dysfonctionnement de la métallothionéine explique le fait que les garçons soient davantage sujets aux troubles du spectre autistique. En fait, les filles seraient plus protégées des substances toxiques externes parce que les œstrogènes et la progestérone stimulent la production de métallothionéine.

Que pensez-vous des vaccins pédiatriques ?

Les métaux lourds injectés dans les vaccins, comme l’aluminium et le mercure, franchissent les barrières de défense de notre organisme et intoxiquent directement le corps. De tels métaux pénètrent dans le cerveau, malgré la protection de la membrane hémato-encéphalique. À ce phénomène, il faut ajouter les métaux stockés dans l’organisme par l’alimentation, l’air et l’eau. D’après l’Institut Pfeiffer, le mercure ingéré quotidiennement au travers de la nourriture se monte à environ vingt microgrammes. Les personnes qui ont des plombages ingèrent une quantité de mercure plus importante : de 1 mcg / par jour pour un vieil amalgame à 450 mcg / jour pour un amalgame récent.

Il serait de la plus grande prudence de n’administrer aucun vaccin avant l’âge de deux ans. D’ailleurs, en 1975, le Japon a interrompu la vaccination des enfants de moins de deux ans. Grâce à cette décision, ce pays connaît le plus bas taux de mortalité au monde pour les enfants en bas âge. Plus un enfant assimile de médicaments durant ses premières années, plus il risque de devenir autiste. Cela vaut aussi et surtout pour la période de la grossesse et pour l’accouchement.

L’autisme est un dérangement typique causé par une accumulation toxique. En plus des vaccins, d’autres substances comme les sprays pour le nez, les antibiotiques, les antiacides antiépileptiques, la fumée, l’anesthésie pour l’avortement, l’aspartame, le glutamate, le bisphénol A, favorisent le développement de l’autisme.

En conclusion, Dr Smits, les enfants autistes sont-ils condamnés pour le reste de leur vie ? Auront-ils besoin d’une assistance ?

Je le répète. Tous les enfants autistes peuvent être guéris à 100 % et retrouver une vie normale, sans recourir à une quelconque assistance.

Il n’est plus possible de remercier le docteur Smits pour ses recherches à contre courant de la médecine officielle. Loin des grands médias, ses études et ses témoignages ont aidé des centaines de milliers d’enfants et redonné espoir aux parents.
En Italie, le Dr Roberto Gava, médecin toxicologue, pharmacologue et homéopathe de Padova, qui a composé la préface de la version italienne du livre du Dr Tinus Smits, a repris ses travaux. Selon lui, les plus récentes études épidémiologiques révèlent une augmentation annuelle des cas autistiques de 10 à 17 %. Cette pathologie extrêmement grave devient de plus en plus commune. Le Dr Gava reconnaît que la thérapie C.E.A.S.E. n’est pas sans effet secondaire. Il observe que les réactions, qui se manifestent un à deux jours après la prise de doses homéopathiques, durent de quatre à dix jours. Elles peuvent provoquer plusieurs troubles : dermatites, fièvre, pathologies des voies respiratoires, perturbations intestinales et nervosité.

Ces réactions prouvent que le vaccin administré à l’enfant était bien responsable de ses dommages organiques. La thérapie homéopathique C.E.A.S.E. de Tinus Smits permet de diagnostiquer et de guérir en même temps les dommages causés par un vaccin ou un médicament. En principe, les réactions qui se produisent après l’administration de l’homéopathie sont toujours supportables par l’enfant. Lors de ses conférences, le Dr Gava constate que le traitement homéopathique a toujours amélioré l’état des enfants autistes. Les enfants qui ne parlaient pas ont commencé à s’exprimer, et ceux qui étaient immobiles ont commencé à marcher. Dans chaque cas, leur niveau comportemental a été nettement amélioré.

Certains, cependant, n’ont aucune réaction à la thérapie. Le Dr Tinus Smits explique dans son livre que l’histoire de l’enfant doit être réexaminée, afin d’identifier la vraie cause qui, avant et après sa naissance, a altéré l’équilibre psycho-neuro-endocrino-immulogique. Ces connaissances sont soutenues dans le livre traduit en français du Dr Harry van der Zee, un ami de Tinus Smits, Traumas de naissance.

Laurent Glauzy

Laurent Glauzy est l’auteur de :
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age
Le mystère de la race des géants

 

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