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06/08/2013

Le Printemps Français prépare la rentrée

 

 
COMMUNIQUÉ
L
e mouvement s'essouffle, la contestation faiblit, les manifestants se lassent, LMPT trépasse ?... Non ! Au contraire. Les actions se multiplient, les mouvements aussi.
Nicolas est en prison, nous sommes au taquet. Les veilleurs sont debout, les bloggeurs se surpassent, Taubirator s’énerve et François fait genre qu’on n’est plus là mais Paris est quadrillé comme jamais.¢
 

Cet été, on ne lâche rien : on se forme (à la Sorbonne, « Engagements et résistances » ou à la Rose blanche, « L’Église et les Nations »), on colle des autocollants, on regarde sur le site du Printemps Français les mouvements installés en province et à Paris, on imagine des actions à partir de la boite-à-idées (elle va se remplir), on lance un atelier T-shirt en téléchargeant le logo, bref on s’échauffe, on rassemble ses forces et on prépare la rentrée en testant toutes les bonnes idées, en s’informant et en discutant avec son voisin de plage, le collègue qui ne part qu’en août, l’épicier qui n’a pas fermé ou celui qui vient d’ouvrir. L’été aussi sera français !
 

09:25 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/07/2013

Quand Taubira rêve:d’imposer le délit de blasphème…

 

 

Sans surprise, nos vaillants députés européens ont donc levé l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Celle-ci, comme tant d’autres avant elle (Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, plus modestement Pascal Hilout et moi-même), bientôt Ivan Rioufol, devra donc s’expliquer devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

 

Il n’est pas inutile de rappeler le mécanisme qui a permis cette décision partisane, qui fait de plus en plus ressembler le Parlement de Bruxelles au Politburo à l’époque du stalinisme triomphant.

Ce sont d’abord les cerbères de l’antiracisme, MRAP et LDH en tête, qui ont déposé plainte contre la présidente du Front national, qui avait osé protester contre les prières musulmanes illégales dans les rues, en évoquant une « occupation ». [...]

Pierre Cassen - La suite sur Boulevard Voltaire

 
  

09:49 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

23/07/2013

Une ministre irlandaise préfère perdre son poste que de voter l’avortement

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Elle s’appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l’était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l’y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l’avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.

Cela s’est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l’amendement 56 rendant l’avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.

Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu’elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l’avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu’elle serait automatiquement exclue et qu’elle n’aurait plus qu’à démissionner du poste ministériel qu’elle occupait depuis plus de deux ans?

Souriante et calme, elle s’est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu’elle n’était pas une militante pro-vie, mais qu’elle était absolument opposée à l’adoption d’une loi que le parti s’était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.

A peine son vote émis, Lucinda Creighton est allée parler au Premier ministre Kenny, restant assise quelques minutes sur la marche à côté de son fauteuil. Ayant serré les mains de quelques-uns de ses anciens collègles, tout aussi calmement, elle a quitté les lieux, non sans être félicitée chaleureusement par certains.

« Je ne ressens ni rancœur ni amertume, ni rien de tel. Je suis très triste, mais je souhaite tout ce qu’il y a a de mieux à Enda Kenny et à tout le gouvernement. Je suis très triste. J’aime vraiment mon travail. J’ai eu le très grand privilège d’accomplir mes fonctions et mes devoirs de ministre aux Affaires européennes au cours de ces deux dernières années et même un peu davantage, et c’est triste pour moi que cela soit fini. Mais je savais les conséquences lorsque j’ai voté. »

Son avenir politique est désormais incertain, puisqu’elle est exclue également du Fine Gael.

Dans une déclaration à l’Irish Independent, elle a déclaré :

« C’est très décevant et j’aimerais bien ne pas en être là. Pour moi, il s’agit d’une loi très importante, une loi qui est contraire à un engagement que nous avons pris aux dernières élections : une promesse avait été faite, une promesse très fondamentale, sur l’avortement. J’ai simplement pensé que nous ne pouvions pas nous écarter de cette promesse. »

Et pourquoi n’avait-elle pas accepté de faire un compromis sur une affaire relevant des négociations au sein de la coalition de partis de gouvernement ? Réponse claire au journaliste : « Eh bien, je pense que le compromis est essentielle à n’importe quelle coalition. Je pense que nous avons su trouver des compromis sur des questions économiques, la politique sociale, etc. Mais quand il s’agit d’une affaire de vie et de mort – et en tout cas pour moi ça l’est – je pense qu’il n’est pas vraiment possible de chercher un compromis. »

Le courage de Mme Creighton est particulièrement remarquable dans la mesure où elle a été elle-même favorable à l’avortement alors qu’elle était plus jeune : elle a expliqué au Dail, avant le vote, qu’elle comprenait très bien la position de ceux qui sont pour parce qu’ils pensent que le fœtus n’est pas un être human : « J’ai moi-même pensé la même chose. »

Mais elle a expliqué que l’expérience de proches et de connaissances lui a fait comprendre que l’avortement est un « outil pour l’oppression des femmes » et que les termes de la loi permettent de « sacraliser la menace de suicide dans les livres de loi pour la première fois ».

Elle a également expliqué que sa prise de position n’avait rien à voir avec des vues rétrogrades imposées par l’Eglise catholique, comme le disent les partisans de l’avortement.

Michael Cook rapporte ses propos dans BioEdge :

« Un consensus croît en Irlande selon lequel l’idée d’avoir un sens moral aurait quelque chose à voir avec l’Eglise catholique. On suppose automatiquement que si vous consultez votre conscience, vous êtes au fond en train de consulter Rome. Cela est profondément inquiétant. C’est une manière paresseuse de tenter de miner la valeur d’un argument sans aller jusqu’à s’attaquer à sa substance. Il ne s’agit pas ici d’un problème catholique, pas plus qu’il n’est protestant ou musulman. Il ne s’agit pas d’une question religieuse. Il s’agit d’un question de droits humains… Nous avons tous droit à l’objection de conscience. Elle est sacralisée par l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies. »

 

 

 

 

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12/07/2013

Le charme discret de l’ "homoparentalité"

 

 

GPA : le bébé servait de sex toy ! - Dans le film « Rosemary’s Baby » (1968), du sulfureux Roman Polanski, une secte satanique jette son dévolu sur une jeune femme afin qu’elle porte l’enfant du Diable. 45 ans après, d’une façon détournée mais peut-être encore plus immonde que dans le film, le Diable fait homme a choisi une mère porteuse afin qu’elle accouche d’un être soumis à la perversion.

 

Le petit garçon a été mis au monde dans un but unique : être le jouet sexuel d’un couple gay !

En 2013, le Mal personnifié s’appelle donc Peter Truong et Mark Newton. Leur histoire, relevée dans la presse anglo-saxonne par le site Fdesouche ce mardi, est un condensé de notre modernité délirante. En 2005, après trois ans de recherches, ce « sympathique » couple gay australien s’offre un délicieux cadeau de Noël : pour 8.000 dollars, une femme russe leur mettra au monde un enfant avec le sperme d’un des deux amoureux. Ils ne parlent pas sa langue, mais un traducteur assurera le bon déroulement du deal. C’est si romantique ! Grâce à la Gestation pour autrui (GPA), grâce au fric, ils seront enfin papas ! [...]

Joris Karl - La suite sur Boulevard Voltaire

 
 

09:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

05/07/2013

Théorie du genre: la vision iconoclaste de Vincent Peillon, par Éric Muth

V
incent Peillon, notre ministre de l'Éducation Nationale, est un homme issu de la révolution française et ne s'en cache pas. Pour lui, elle n'est pas terminée et, non content de se réjouir de la validité de la loi funeste Taubira, il enfonce le clou en inventant « la théorie du genre » à l'école.
Ce franc-maçon invétéré veut donc changer les mentalités au nom de la diversité, sa morale archaïque va voir le jour : « La morale laïque, c'est comprendre ce qui est juste, distinguer le bien et le mal, c'est aussi des devoirs autant que des droits, des vertus, et surtout des valeurs ». De deux choses l'une, soit Vincent Peillon est un illuminé, soit il se prend pour le Pape François.¢


« Éduquer contre l'homophobie dès l'école primaire », c'est normal pour celui qui affirme que la Franc-maçonnerie est la religion de la république et qu'au-dessus des droits de l'homme il y a la Franc-maçonnerie. Le ministre de l'Éducation Nationale agit en véritable terroriste de la pensée et, d'après un rapport sur les discriminations, n'hésite pas à vouloir former les enseignants et les élèves à ces questions, sans oublier les associations sectaires LGBT.

Ce formatage libéral et maçonnique n'a rien à faire dans nos écoles françaises. Cet idéalisme de la rue est une tentative de manipulation et d'intimidation qu'il faut dénoncer.

Rappelons également que Najat Vallaud-Belkacem estime dans un entretien au magazine Têtu qu'il faut " Passer en revue " les manuels scolaires pour ne plus passer sous silence l'homosexualité de personnages historiques. Exploiter tous les vices de la nature et les légiférer, c'est bien là la politique de justice socialiste.

À quand la théorie des genres en application dans les crèches ?¢
 
 
 

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