Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/11/2016

Martin Heidegger philosophe incorrect:

 

 

 

 
 
Martin Heidegger philosophe incorrect
BLANCHARD (Pasteur Jean-Pierre)
 
 
 
  • Date de parution:1997-01-01
  • Editeur: AENCRE (EDITIONS)
  • ISBN:9782911202216
  • Nb de pages: 192

 

 
 
Adulé par tous les philosophes de l'après-guerre comme le père fondateur de l'existentialisme - notamment par Jean-Paul Sartre dont l'oeuvre principale L'être et le néant (1944) fait référence à son ouvrage Être et temps (1927) - il aura fallu un seul ouvrage écrit en 1987 (Heidegger et le nazisme de Victor Farias) pour faire de Martin Heidegger un réprouvé et un maudit.
 

Ayant perdu la foi dans sa jeunesse et devenu violemment antichrétien, il s'est incontestablement ouvert dans la seconde partie de son oeuvre à une dimension spirituelle.
 

Martin Heidegger est-il le plus grand philosophe de ce siècle ? Était-il chrétien ou antichrétien ? Nazi ou antinazi ?
Le pasteur Jean-Pierre Blanchard fait voler en éclat tous les mensonges répandus sur ce grand penseur allemand qui n'a jamais renié aucune de ses adhésions ! 
 
 

Jean-Pierre Blanchard fait des études de théologie au Centre d'études théologiques de l'Église évangélique luthérienne, a été vicaire de la paroisse Saint-Sauveur à Paris (15e) où il a été ordonné Pasteur en 1992.
 
 
 

 

 

 

 

10:26 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

23/09/2016

Friedrich Nietzsche fils de pasteur luthérien:

 

 


 

 

Friedrich Nietzsche

Philosophe allemand (Röcken, près de Lützen, 1844-Weimar 1900).

 

 

Friedrich Nietzsche fut le penseur qui soumit à un doute radical tout l'acquis de la pensée occidentale, de Platon à Descartes. Sa propre philosophie est celle qui appelle de ses vœux le « surhomme », victorieux du Temps parce qu'il inscrit son action dans un « éternel retour ».

 

 

Une éducation privilégiée

 

Fils et petit-fils de pasteurs luthériens, Friedrich Nietzsche a tout juste deux ans lorsque son père meurt. À Naumburg, où sa famille s'installe, il grandit au milieu de femmes : sa mère, sa sœur cadette Elisabeth, sa grand-mère et deux tantes. Toutes l'entourent du respect suscité par l'enfant prodige qu'il est, montrant un don précoce pour la musique.

En 1858, Nietzsche est envoyé dans une école protestante faite pour l'élite et, en 1864, il s'inscrit à l'université de Bonn, où il étudie la théologie et la philologie classique. Mais c'est surtout à l'écriture musicale qu'il se consacre. En 1865, il suit à Leipzig son professeur et mentor, le latiniste Friedrich Wilhelm Ritschl (1806-1876), qui le tient pour un génie. Sur la recommandation de Ritschl, il obtient en 1869 – alors qu'il n'a pas encore soutenu de thèse – un poste de professeur de philologie classique à l'université de Bâle.

 

L'époque des affinités rompues

 

À Leipzig, Nietzsche a découvert la philosophie en lisant le Monde comme volonté et comme représentation de Schopenhauer. L'art, pensé comme contemplation du beau, y apparaît comme une consolation aux tourments de l'existence. Nietzsche croit voir la réalisation de ce projet philosophique dans la musique de Richard Wagner. De 1869 à 1872, il fait partie du cercle des intimes du compositeur, auquel il dédie son premier ouvrage : paru en 1872, celui-ci a pour titre la Naissance de la tragédie et pour sous-titre Hellénisme et pessimisme, ce dernier terme étant emprunté à Schopenhauer ; le philologue devenu esthéticien suscite de brûlantes controverses en portant sa première attaque contre l'idéalisme de Platon. Nietzsche rompt pourtant avec sa double filiation en publiant, entre 1873 et 1876, les quatre Considérations inactuelles (ou intempestives) : il rejette la philosophie de Schopenhauer, afin de proclamer « l'acquiescement à la vie », et la dramaturgie wagnérienne, parce qu'elle est fondée sur l'exaltation de la mythologie germanique.

 

Depuis 1874, Nietzsche fait l'épreuve de la maladie – migraines et troubles oculaires –, qu'il accueille cependant, par-delà la souffrance, comme un moment de liberté : il en finit alors « avec cette habitude de céder, de faire comme tout le monde, de [se] prendre pour un autre ». En 1879, il démissionne de l'enseignement. Avec la maigre pension du gouvernement suisse pour tout viatique, il mène une vie d'errance, en Bohême, en Italie, en France, surtout à la recherche des stations thermales qui conviendront le mieux à son état de santé.

 

L'époque des ouvrages fondateurs

 

Les années d'errance sont aussi celles du surgissement de l'œuvre proprement nietzschéenne. Humain, trop humain (1878) inaugure une période de critique totale, qui se poursuit avec le Voyageur et son ombre (1879) et Aurore (1881). Ces livres sont comme « une forme supérieure de guérison ». Nietzsche a recours à l'aphorisme pour rendre compte d'une réalité faite de multiples « perspectives ». Par son style même, il nous invite à nous méfier des systèmes rassurants, comme celui de Descartes, dont le « je pense, donc je suis » est soumis à une critique en règle : il n'est pas certain, dit Nietzsche, que je sois l'être qui représente ce que je me représente. Dans le Gai Savoir (1882), il reformule l'idée (stoïcienne à l'origine) de l'éternel retour : il n'est pas question de croire en un absurde retour des choses, mais d'éprouver la force de la volonté, en voulant toujours ce qu'on a voulu une fois – ce qui signifie renoncer au temps linéaire de l'histoire judéo-chrétienne.

 

Paru en plusieurs parties entre 1883 et 1885, Ainsi parlait Zarathoustra ne se vend qu'à une centaine d'exemplaires. C'est pourtant, parmi ses œuvres, celle dont Nietzsche déclare : « En l'offrant à l'humanité, je lui ai fait le plus grandiose présent qu'elle ait jamais reçu. » Il choisit la forme du discours poétique pour exposer les thèmes essentiels de sa philosophie que sont la mort de Dieu et l'apparition du surhomme (Übermensch) : le surhomme est celui qui est animé de la volonté de puissance – entendue non comme désir de domination mais comme force créatrice – et celui qui accepte, d'abord dans la gravité puis dans la joie, l'épreuve de l'éternel retour. « Quel que soit l'état que ce monde puisse atteindre, il doit l'avoir atteint, et cela, non pas une fois, mais d'innombrables fois. »

 

Le crépuscule du penseur

 

Nietzsche s'emploie ensuite à détruire définitivement ce qui a été ébranlé dans le Zarathoustra : la morale dans Par-delà bien et mal (1886) et dans la Généalogie de la morale (1887), la religion dominante dans l'Antéchrist (1888 [publié en 1896]) et toutes les formes d'idéalisme dans le Crépuscule des idoles (1888). Dès la fin de 1888, il écrit des lettres étranges, puis, le 3 janvier 1889, alors qu'il se trouve à Turin, il sombre dans l'aliénation mentale. D'abord interné à Iéna, il est ensuite recueilli, à Naumburg, par sa mère – qui lui en veut cependant d'« avoir tué le Christ » – et, finalement, à Weimar, par sa sœur Elisabeth (1846-1935), qui sera la dépositaire de ses derniers manuscrits. En 1901, c'est sa sœur qui publie, sous le titre la Volonté de puissance, ce qui n'est pas réellement une œuvre de Nietzsche, mais une compilation posthume d'aphorismes sélectionnés et parfois même partiellement réécrits. En désaccord avec le texte d'Ecce Homo, datant de 1888, elle en retardera la parution jusqu'en 1908.

 

La sœur Walkyrie

 

Elisabeth Nietzsche, surtout connue sous son nom d'épouse – Elisabeth Förster Nietzsche –, fut pour Friedrich une sœur attentionnée et complice, dont l'affection, à l'âge adulte, se mua en une passion dévorante, qui la poussa notamment à s'immiscer dans la vie sentimentale de son frère. C'est elle, notamment, qui mit fin à la liaison – pourtant toute spirituelle – que celui-ci eut avec la jeune Lou Andreas-Salomé entre 1882 et 1883.

 

Nietzsche, sur la fin de sa vie, n'était plus que l'ombre de lui-même. Il tomba complètement sous la coupe d'Elisabeth, qui gérait ses archives. C'est sa sœur qui entreprit de diffuser son œuvre, quitte à jouer les faussaires afin de transformer Friedrich en héros de la « nouvelle Allemagne ». Trente ans durant, après la mort de son frère, elle chercha à imposer une interprétation de la pensée nietzschéenne qui allait dans le sens de ses propres convictions aryennes – parachevées par son adhésion au national-socialisme.

11:00 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

06/09/2016

Anniversaire du couronnement d’Otton, premier roi germanique

Otton, otton

Ce 7 août 936 annonce une dynastie qui fera concurrence à l’hégémonie de la France en Europe continentale, christianisera les Balkans, stoppera les Ottomans aux portes de Vienne, affrontera les hordes nomades de l'est.
         

 

Toujours dans la tradition d’amitié franco-allemande qui caractérise si bien cette belle année 2014 (huitième centenaire de la bataille de Bouvines, match France-Allemagne, centenaire de 1914-18…), le 7 août 2014 marque l’anniversaire du couronnement d’Otton Ier le Grand. Le début d’une grande histoire qui commence en l’an 936 dans la cathédrale d’Aix-la-Chapelle.

 

Ce jour-là, 7 août, le festin bat son plein à Aix. Tout le gratin de Francie orientale est présent : archevêque de Mayence, ducs de Souabe, de Bavière, de Franconie… Celui de Saxe est absent, car il y a quelques heures, l’archevêque de Cologne l’a nommé roi de Francie orientale, c’est-à-dire de Germanie.

 

Pour comprendre comment est né ce qui sera plus tard le Saint Empire romain germanique, un retour en arrière s’impose. En 843, l’empire de Charlemagne est partagé entre ses petits fils. À Charles, la Francie occidentale (France). À Louis, la Francie orientale, et à Lothaire, un vaste et éphémère État tampon entre les deux autres.

 

Pendant ce temps, les Vikings perturbent toute l’Europe pendant que les hordes slaves et hongroises multiplient les incursions en Francie orientale. Les Carolingiens (descendants de Charles Martel et de Charlemagne), incapables de s’y opposer, sont peu à peu supplantés par les Robertiens (ou Capétiens) en Francie occidentale. En Francie orientale, la mort du faible Carolingien Louis IV amène les ducs à élire comme roi Conrad Ier. Ce dernier appelle sur son lit de mort son rival Henri l’Oiseleur (car il chassait au faucon quand on vint l’avertir) à lui succéder. Henri initie une politique prudente : vaincre les ennemis si on le peut (les Danois) ou, s’ils sont trop puissants pour le moment, acheter la paix par un tribut et se fortifier en attendant (Slaves et Hongrois). À l’intérieur, il évite de choquer les ducs qui l’ont élu en se déclarant leur égal, sans trop empiéter sur leur autorité. Ainsi, il refuse le sacre pour montrer à ses vassaux qu’il reste un homme comme eux. Enfin, dans l’éventualité d’une mort impromptue, il fait élire son fils Otton, six ans, comme successeur.

 

Le jeune Otton n’est donc vu, à son avènement, que comme le premier parmi ses pairs. Il dissipe vite cette illusion en se faisant sacrer d’emblée, et en se faisant servir au cours du festin par ses grands vassaux si orgueilleux. Il mate les plus turbulents et redistribue leurs terres à ses fidèles.

 

De plus, il poursuit l’œuvre de son père en boutant hors de ses frontières les Hongrois. Cette politique ambitieuse culmine avec une intervention en Italie, où il soulage le pape, menacé par un roitelet local, et obtient en retour le titre d’empereur.

 

Ce 7 août 936 annonce une dynastie qui fera concurrence à l’hégémonie de la France en Europe continentale, christianisera les Balkans, stoppera les Ottomans aux portes de Vienne, affrontera les hordes nomades de l’est.


Ce 7 août 936 marque la naissance de l’Allemagne, pour le plus grand bonheur de l’Europe, mais aussi le plus grand malheur de notre France...

Enregistrer

10:49 Publié dans Culture, Histoire | Tags : otton | Lien permanent | Commentaires (0)

02/09/2016

Napoléon Peyrat: chantre du Catharisme et des Camisards:

 

 

 

 

 

Napoléon  Payrat 1.jpg

 

 

 

 

C’est en Ariège que le Pasteur Napoléon Peyrat verra le jour en 1809, sur cette terre où le Protestantisme a planté de profondes racines. Ce poète, historien, pasteur, sera un fervent défenseur de la culture Occitane.

 

 

 

 



Bien qu'il soit extrêmement libéral, aux idées radicalement avancées, puisqu'il fut membre du félibrige rouge, il sera, par une heureuse inconséquence, comme d'autres avant et après lui ( cf Louis Second et sa traduction de la Bible), un défenseur de l'Orthodoxie, et le chantre du petit peuple Cévenole. Au strict Protestantisme qui s’est levé lors des guerres Camisardes pour la défense du pur Evangile, il lui a fallu un courage certain pour oser passer outre la réprobation du protestantisme officiel, qui préférait jeter un voile pudique sur cette période si décriée

 

 

 

 

 

 

Napoléon  Payrat 2.jpg

 

 

 

 

 

 

C’est en 1842 que sorti "les Pasteurs du désert" véritable plaidoyer pour les insurgés. De 1870 à 1882 ce sera la monumentale "histoire des Albigeois" ( 5 volumes) qui sera la première réhabilitation du Catharisme.

 

 

 




                              Patrick Cabanel et Philippe Robert
                                      Cathares et Camisards
                              " L'Oeuvre de Napoléon Payrat"
                                          ( 1809-1881)
                              Les Presses du Languedoc ( 1998)

 

 

 

 



                                
                                           Pasteur  Blanchard

 

 

 

 

 

 

 

 

Napoléon  Payrat 3.jpg

 

 

 

 

 

09:28 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

26/08/2016

Pierre Boutang, tel qu’en lui-même:

 

 

Pierre Boutang (1916, 1998). Philosophe, poète, romancier, critique littéraire et essayiste politique. Esprit libre, métaphysicien majeur, traducteur de Platon, T. S. Eliot, William Blake et Chesterton. L’hebdomadaire La Nation française, qu’il dirigea de 1955 à 1967, fut à l’origine du renouveau de la pensée royaliste. Publications récentes : Ontologie du secret (PUF, 2009), Apocalypse du désir (Ed. du Cerf, 2009), La Politique considérée comme souci (Les Provinciales, 2014).

 

 

Stéphane Giocanti, né en 1967, est romancier et historien de la littérature et des idées. Il est l’auteur d’essais remarqués sur T.S. Eliot, Charles Maurras et le Félibrige et un des meilleurs spécialistes de l’oeuvre de Pierre Boutang. Publications récentes : Maurras, le chaos et l’ordre (Flammarion, 2006), Kamikaze d’été (Ed. du Rocher, 2008), Une Histoire politique de la littérature (Flammarion, 2009), C’était les Daudet (Flammarion, 2013).

 

 

 

 

 

 

 

Pierre Boutang Stéphane Giocanti. Flammarion. 458 pages.

 

 

 

Présentation de l’éditeur.

 

 

En 1998, toute la presse française se fait l’écho de la disparition de Pierre Boutang et le monde intellectuel, longtemps divisé à son sujet, rend un hommage unanime à ce maître – à la fois méta-physicien, écrivain, critique, poète et traducteur. Aujourd’hui, en dépit du centenaire de sa naissance (1916-2016), la postérité semble oublier injustement celui qui fut aussi le fondateur du journal La Nation française (1955-1967). À ceux qui en ont une image toute faite – celle d’un personnage colérique, d’un penseur sulfureux ou même « facho » –, cette biographie fournira bien des démentis et des nuances : en politique, fut-il maurrassien ou gaulliste ? pétainiste ou giraudiste ? traditionaliste, anarchiste ou antimoderne ? Fut-il un homme de droite, ce pourfendeur de l’Argent qui appelle à voter Mitterrand en 1981 ? Un homme de gauche, cet adversaire du marxisme et du Progrès ? Et comment situer un catholique en proie aux formidables débordements d’Éros ? Ceux qui ne le connaissent pas encore découvriront ici quelle immense figure de la vie intellectuelle française fut Pierre Boutang – lecteur phénoménal, professeur adulé après avoir été longtemps exclu de l’université, mais aussi pamphlétaire à la plume acérée, et surtout philosophe de la transcendance de l’être et du désir.Traversant un demi-siècle de pensée et de débats, où se croisent les voix des maîtres et amis de Boutang – de Gabriel Marcel à Jean Wahl, de Philippe Ariès à Roger Nimier, de Maurice Clavel et Raymond Aron à George Steiner –, nourri de témoignages et de documents inédits, Stéphane Giocanti révèle la genèse d’une œuvre en forme d’« odyssée du secret » et, sans éluder sa part d’ombre, brosse le portrait d’un inclassable géant du XXe siècle.

 

 

 

L’article de Gabriel Matzneff. - Le Magazine littéraire - mars 2016. Boutang, le tyran métaphysique. Le 3 avril 2013, je déjeune rue du Mail, à Paris, Chez Georges, avec le patron des éditions Hermann, Arthur Cohen. Le nom de Pierre Boutang vient dans la conversation quand j’évoque sa traduction du Banquet de Platon et sa préface, qui suscita un vif émoi parmi les spécialistes de l’Antiquité gréco-romaine. « En 2003, me dit Cohen, il nous en restait une quinzaine d’exemplaires. Nous avons mis dix ans à les vendre. » Puis il enchaîne sur l’hostilité que la Sorbonne persiste à témoigner à l’oeuvre de Pierre Boutang. Celui-ci est mort en 1998. Souvent, l’ostracisme dont est, de son vivant, victime un philosophe, un écrivain, un peintre cesse après sa mort, mais, on le voit avec Boutang, il y a des exceptions. Espérons que l’importante biographie que lui consacre Stéphane Giocanti va mettre fin à cette imbécile quarantaine ; infusera aux éditeurs l’envie de rééditer les livres épuisés de Pierre Boutang, et aussi, c’est essentiel, de publier ses carnets intimes inédits, de recueillir les articles qu’il donna aux journaux, aux revues tout au long de sa vie - je pense en particulier aux beaux textes parus dans La Nation française -, et qui font partie de son oeuvre au même titre que ses essais, ses poèmes et ses romans ; bref, rendra à Pierre Boutang la place éminente qui est la sienne parmi les philosophes français du XXe siècle. [....]

 

 

 

La suite sur La Revue Critique des idées et des livres

 

09:18 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)