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28/05/2013

Les messages subliminaux dans les dessins animés et le Rock

 

Dans les années 1970, les pays européens se dotent d’une législation interdisant les messages subliminaux. En 1988, entre les deux tours de la présidentielle, le scandale éclate. François Mitterrand, président en exercice, candidat à sa propre succession, aurait usé de cette technique dans le générique du 20 heures sur Antenne 2. Nombreux sont aussi ceux qui prétendent et argumentent que ces messages seraient utilisés à des fins peu louables, notamment dans les dessins animés et la musique Rock.

L’œil et l’oreille sont bombardés chaque jour de deux cent mille à quatre cent mille messages mais nous ne sommes conscients que d’une infime partie (5 % à 7 %) d’entre eux. L’inconscient n’a pas la capacité d’analyser cette forme de message. Il ne peut donc pas l’accepter ou le refuser. Le cerveau le mémorise alors directement. Nous savons par ailleurs que les Américains ont utilisé ces procédés pendant la guerre du Golfe, sous l’appellation d’armes non létales et non conventionnelles, pour annihiler la résistance des soldats ennemis.

Incitation à l’homosexualité

En Europe, un enfant regarde en moyenne la télévision trois heures et demie par jour. En une heure, il est la cible de trente actes de violence ou d’actes sexuels plus ou moins explicites. Par conséquent, son cerveau aura assimilé en dix jours trois cents messages ; en un mois, mille ; et dans une année près de douze mille. Les jeux Nintendo, Playstation, Gameboys, les dessins animés Pokemon, Digimon, Dragonball Zeta, Sailormoon, Beyblade constituent les vecteurs principaux de ce fléau.

Or le Japon, producteur de ces dessins animés, a interdit chez lui dès 1999 la diffusion des Sailormoon et Pokemon dont la traduction montre toute la malfaisance préméditée. Pokemon signifie « Pocket Monster » (le monstre de poche). Ce sont des démons ayant un pouvoir maléfique particulier. Un autre dessin animé très célèbre, Pikachu, signifie « cent fois plus puissant que Dieu ». DragOnball Z : le O de « DragOn » dessine en son centre le symbole satanique de l’étoile à cinq branches ou pentacle, ball fait référence à Baal, un démon que les Hébreux adorèrent dans le désert à la place de Dieu et auquel ils sacrifiaient des enfants en les immolant dans le feu. D’autres dessins animés comme les Razmokets, le jeu pour console vidéo Tomb Raider, détruisent l’identification sexuelle de l’enfant. Ce sont des corps de femme avec des comportements agressifs et très masculins. Les quelques femmes qui apparaissent dans les consoles Nintendo et Playstation sont toutes androgynes.

Les Simpson illustrent cette « parfaite anti-éducation ». Les personnages sont bien entendu laids, grossiers et stupides. Les Teletobbies représentent quatre peluches reprenant des symboles de la Gay Pride, un triangle inversé avec des couleurs rose, violet, des fleurs. Ils sont destinés à des enfants d’un an et demi, chez lesquels il a été constaté un comportement opposé à leur identité sexuelle.

Le vrai visage de l’empire Disney

Il est difficile d’étudier l’aspect démoniaque et destructeur des dessins animés sans entrer dans l’empire de Walt Disney. Une de ses dernières productions est Le roi Lion. Scar y symbolise le démon. Il apprend à son neveu, le petit lion, à se rebeller contre ses parents, et contre Dieu par le biais de son père « qui te restreint avec ses commandements et ses interdictions ». En images subliminales, le mot « Sex » apparaît cinq fois sur la pellicule. Sachant qu’il faut de 24 à 30 images pour créer l’effet d’un mouvement, l’œil ne peut rien détecter. Cette technique de l’image subliminale a été utilisée par Disney sur le dessin d’une femme nue crucifiée avec le visage du diable dans Bernard et Bianca, quand ils passent de nuit dans un palais volant sur le dos d’un albatros. A l’époque, la firme Disney avait dû payer 74 millions de dollars pour éviter un procès public. Elle avait présenté des excuses au spectateurs américains en reconnaissant qu’« il est vrai que Bernard et Bianca est une incitation à la pornographie infantile ». L’entreprise avait fait retirer 3,5 millions de pellicules. Aujourd’hui, des images subliminales ont été découvertes dans d’autres dessins animés comme La Petite Sirène, La Petite Sirène 2, La Belle et la Bête 2.

Sur l’affiche du film Le Silence des Agneaux, nous voyons un papillon posé sur la bouche d’une dame, où une tache blanche ayant la forme d’une tête de mort. Mais en regardant attentivement cette tache blanche, apparaissent neuf femmes nues. Que dire aussi des poupées Barbie de Mattel, détruisant toute notion de pudeur ? Il est vrai qu’elles développent l’instinct maternel, mais bizarrement, la jeune fille demandera à sa maman pourquoi sa poupée a des seins formés, des hanches aussi marquées et des jambes de stars de cinéma. Les mini-jupes, le maquillage suscitent un sentiment de vanité, des idées très précoces. Pour toutes ces raisons, en 1998, l’Italie est le premier pays à avoir interdit la poupée Barbie. Dans leur adaptation en dessin animé, les Bratz ont des têtes de démon dont certaines sont couronnées de l’auréole des Saints.

Musique satanique

La musique Rock, Pop, Techno, Rap, Reggae, Hip-Hop est émise sur une fréquence correspondant aux cadences des cultes africains comme les musiques de transe Vaudou ou Macumba. L’inventeur de ce nouveau rythme dans les années cinquante est l’Afro-Américain Little Richard. Sataniste déclaré, il transforme la manière d’écrire le Jazz. Il en fait une musique syncopée. Little Richard se convertira au chritianisme et reconnaîtra : « La musique que j’ai inventée n’est pas de la musique, mais un culte rendu à Satan ! » La première mouvance est le Soft Rock auquel appartint Elvis Presley. Vient ensuite l’Acid Rock (Acid signifiant Drogue), dont les Beatles sont le groupe emblématique. Leur formule Sex, Drugs and Rock and Roll exprime à l’origine un rapport sexuel dans une voiture. A ce mouvement succèdent des Rocks de plus en plus violents comme le Hard Rock, le Punk Rock avec les groupes Afrodite Child, Kiss ou Kings in Satanic Service. Le Black Rock recense des célébrités aux noms certes peu imaginatifs mais toujours très explicites : Sepultura, Venom, etc. Cette musique se joue avec une guitare basse qui émet des infrasons, une batterie cadençant des sons lourds et répétitifs jusqu’à 120 pulsations à la croche (la musique Techno atteint 380 à 420 pulsations). Leurs ondes font vibrer les masses liquides du corps humain, dans le ventre, la bouche et dans la région du cerveau avec le liquide céphalo-rachidien. Elles dérèglent la glande hypophyse qui se met à sécréter une hormone, l’endorphine ou morphine naturelle, provoquant les mêmes effets que de la drogue : le cerveau devient hyper réceptif aux influences extérieures. Il compense ce déséquilibre avec les glandes surrénales qui produisent les hormones sexuelles…

La personne se retrouve en état d’hyperexcitation sexuelle, de violence : elle est livrée à ses pulsions. Cette musique atteint 80 à 120 décibels. Au niveau supérieur, le niveau létal, le fonctionnement des organes principaux s’altèrent très rapidement. Cela explique que beaucoup d’adolescents souffrent de maladies cardiaques, oculaires, auditives, cérébrales, normalement observées sur des patients sexagénaires. A cela s’ajoute une autre nuisance, celle de la lumière stroboscopique et psychédélique. Elle est composée de rayons envoyés par des dizaines voire des centaines de spots. Au milieu de la discothèque, est suspendue une sphère composée de centaines de facettes ou petits miroirs qui réfléchissent dans toutes les directions les rayons des spots envoyant une lumière à une fréquence hertzienne réglée (bien entendu) sur le groupe qui se produit sur scène. Habituellement, au début, la fréquence des spots est de six impulsions à la seconde. A cette fréquence, nous perdons toute notion de profondeur et d’équilibre. Ces pertes d’équilibre font ensuite place à la perte des défenses psychologiques et à des comportements agressifs pour dissimuler ses propres angoisses. Quand le rythme monte jusqu’à quinze, vingt impulsions de lumière par seconde, il s’interfère avec la production des ondes alfa du cerveau, nécessaires au décodage de notre environnement. A vingt-cinq impulsions, le cerveau ne s’adapte plus : il bloque ! Que se passe-t-il ? Le sujet devient un vrai zombie. Il obéit aux pulsions les plus animales, à tous les messages extérieurs (et subliminaux). Et comme rien ne doit être laissé au hasard, ces lieux de déchéance abreuvent de vidéos érotiques ou pornographiques les jeunes dépravés, tentés de plus par la consommation facile d’ecstasy.

L’arme du futur

Qui sait que les Beatles ont eu recours aux messages subliminaux ? Cela démontre encore une fois l’étendue de cette pratique. Dans la chanson Revolution number one, il est répété à dix reprises « number 9 ». Quand ce morceau est écouté à l’envers, des paroles faisant implicitement référence à la crucifixion de Notre Seigneur, sont prononcées : « Turn me on, dead me » (excite-moi sexuellement homme mort). Dans Another one bite the dust, le groupe Queen prononce à quatre reprises ce titre. En sens inverse, nous entendons « Start to smoke marijuana » (commence à fumer de la marijuana). Dans I am slave for you de Britney Spears, à l’envers cela donne : « te quieto, te quieto, Satana, Satana, mi dulce dulce fruto » (Je t’aime Satan, mon fruit très doux). Dans Nunca te hare llorar des Back Street Boys, l’enregistrement à l’envers dit de crucifier Jésus et de se consacrer à Lucifer. Le chanteur italien Zucchero, dans Miserere, les paroles inversées de « A volte la migliore musica è il silenzio », produisent « Hashis, eroina ». Les groupes et chanteurs Las Ketchup, L5, Shakera, Jennifer Lopez, au succès aussi rapide qu’éphémère, ne cachent pas leur attirance pour Satan. Est-ce un hasard ?

Hesekiel Ben Aaron, troisième homme de l’Eglise de Satan, converti au christianisme, confirme cette sombre réalité. En 1985, il explique au journal New Solidarity que de nombreux groupes de Heavy Metal très célèbres comme Black Sabbath, The Blue Oyster Cult, The Who, Ozzy Osbourne adhèrent à la secte.

Laurent Glauzy
Article tiré de l’Atlas de géopolitique révisée, tome I.

 

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