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22/12/2017

J’ai été étudiant du CET (depuis fermé) :

 

 

                                                

 

 

 

CENTRE d’ÉTUDES THÉOLOGIQUES

  

rue Jules Barbier

   

92290 Chatenay-Malabry

 

  

 

Le Centre d’Etudes Théologiques de l’Eglise Evangélique Luthérienne-

Synode de France et de Belgique prépare au ministère pastoral, par une formation théologique de quatre ans, les titulaires du baccalauréat ou d'un équivalent.

 

 

L'enseignement dispensé comprend l'étude des langues anciennes (grec, hébreux, latin) et les principales disciplines théologiques : théologique systématique, introduction à l’Ecriture Sainte, herméneutique, exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament, symbolique, homélitique, théologie pastorale, histoire de l’Eglise, à quoi s’ajoute une introduction à la psychologie appliquée.

 

 

Cet enseignement a pour fondement l’affirmation de l’inspiration plénière, de l'infaillibilité et de l'autorité des livres canoniques de l’Ecriture Sainte et renonce à l'utilisation de toute méthode d'investigation critique de la Bible mettant en cause son origine divine et donc la valeur permanente de son contenu. Il veut rester fidèlement attaché aux grandes vérités doctrinales redécouvertes par la Réforme luthérienne. Il accueille, dans la limite des possibilités, tout étudiant qui partage cette conviction doctrinale.

 

 

 

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19/12/2017

Aude : une musulmane vandalise une église à Rennes-le-Château:

 

 

 

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Il s’agit de l’église Sainte-Marie-Madeleine. La presse régionale a amplement évoqué les actes de vandalisme doublé de profanation – l’autel ayant été vandalisé aussi – mais avec des approximations : le bénitier (qui a aussi été endommagé) n’est pas « surmonté » par cette effigie d’un démon, mais au contraire posé sur ses épaules… Le « manteau noir » qui la revêtait était vraisemblablement une abaya. Quant à la « cape blanche » qu’elle a ensuite jeté sur ses épaules, c’est sa couleur – ou plutôt l’absence de couleur, car le blanc n’est pas une couleur… – qui a du sens puisque le blanc est symbole de pureté en islam : les défunts mahométans sont toujours enseveli dans un linceul blanc. Allez savoir si, dans l’esprit de cette femme, cette cape blanche n’a pas été imaginée comme une sorte de linceul pour le cas où elle aurait été abattue sur place. Intéressant aussi de noter que la vandale révèle que son mari est « là-bas », c’est-à-dire en Syrie. Y mène-t-il le djihad ? Ce n’est pas, contrairement, à ce que dit le maire de Rennes-le-Château, un attentat contre la « République française », mais un acte de haine contre les chrétiens, les “croisés”, commis dans l’un de leurs lieux de culte…

Hier matin [17 décembre] vers 9 h, une jeune femme d’une vingtaine d’années, seule, habillée d’un manteau noir, se présente à l’office de tourisme de Rennes-le-Château pour demander les horaires d’ouverture de l’église. Elle avait, disait-elle, l’intention de la visiter. L’employée du site lui indique les horaires. La visiteuse décide alors de boire un café puis de déambuler dans les ruelles. Vers 11 h 15, elle demande à un restaurateur de se laver les mains. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d’une longue cape blanche, d’un voile sur la tête et d’un masque style vénitien sur le visage […] Devant des touristes surpris, la jeune femme se réfugie dans la grotte dite de la Vierge, à proximité de l’église, et téléphone longuement en arabe, puis rentre tranquillement dans l’église, sort une hache et se met à frapper sur le célèbre bénitier surmonté [sic] par la représentation d’Asmodée. Elle décapite le fameux diable rouge, lui coupe le bras et pose un coran à ses côtés, puis lacère le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine, devant des visiteurs ébahis. Ces derniers donnent l’alerte, le maire, Alexandre Painco, intervient. Il constate les faits et appelle la gendarmerie. Face à la jeune femme étonnamment calme, il lui demande pourquoi elle a commis ces actes. Elle répond posément : «  pendant qu’en Syrie l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ». Rapidement sur place, les gendarmes interpellent la jeune femme sans aucune résistance. Un périmètre de sécurité est établi dans le village, et une équipe de déminage arrivée dans l’après-midi se met à l’œuvre. Le maire n’en revient toujours pas : « Cette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour, ce lieu précis, pour qu’il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française. »

 

Source : La Dépêche, 18 décembre; L’Indépendant, 18 décembre(repris par Midi Libre, 18 décembre) [Merci M. K., A. V., F. P., C. D. et N. D. pour ce signalement]

 

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15/12/2017

Histoire de la Church of the Lutheran Confession (4).

 

 

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Dans l'exercice de la communion et dans le culte (prier ensemble) ainsi que le travail avec d’autres églises, nous ne pouvons pas partager et considérer  comme frères, ceux qui n’ont pas la même foi dans leurs cœurs, qui n'est pas pour nous visible. Au lieu de cela, par la grâce de Dieu et conformément à son enseignement, nous sommes autorisés à exercer la communion seulement avec ceux qui, dans leur confession et leur vie ce conforment à la règle de la Parole  de Dieu. Parce que le Christ Lui-même a exhorté: "enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit»; et parce que le Saint-Esprit a inspiré St. Paul à écrire: "Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à tenir tous un même langage, et qu'il n'y ait pas de divisions parmi vous; mais que vous ne soyez parfaitement unis dans un même esprit et dans le même jugement »- nous savons dans la foi que c'est la volonté divine que les chrétiens sont appelés à être parfaitement unis dans la doctrine et la pratique, et qu'ils ne doivent pas être indifférents dans ces questions (ne pas chercher à être d'accord pour ne pas choquer) mais  rechercher le seul accord possible, sur les bases de la Parole de Dieu. Là où il ya une telle unité dans la doctrine et la pratique, il est souhaitable dans la pratique, de mettre en place la communion dans toutes ses phases; où il n'y a pas une telle unité, la parole de Dieu dans Romains 16:17 énonce le refus de Dieu de cautionner la pratique de telle communion: "Je vous exhorte, frères, de fuir ceux qui causent des divisions et des scandales, sur doctrine que vous avez apprise de moi; évitez-les ".

 

 

Le CLC, en conséquence, confirme la déclaration suivante de 1932 : «Puisque Dieu a ordonné que Sa Parole uniquement soit enseigné, sans la mélanger avec des doctrine humaine, elle doit être enseignée et crue au sein de l'Église chrétienne (1 Pierre 4:11; Jean 8. :. 31,32; 1 Tim 6: 3,4) tous les chrétiens sont tenus par Dieu de faire la distinction entre l'église-corps orthodoxe du Christ et celle qui sont hétérodoxe, et, au cas où ils viendraient à s’égarer dans une église- hétérodoxe, de la laisser (Rom 16. : 17). Nous rejetons aussi le syndicalisme, c'est lui qui est en communion avec des églises adeptes de fausses doctrines, qui désobéissent à l'ordre de Dieu, causant divisions dans l'église (Rom 16:17;. 2 John 9,10), impliquant le danger constant de perdre la Parole de Dieu (2 Tim 2: 17-21.). ... Le caractère d'une église orthodoxe est établie non pas par son simple nom ni par son acceptation vers l'extérieur et l'adhésion à un credo orthodoxe, mais par la doctrine qui est réellement enseignée dans ses chaires, dans ses séminaires théologiques, et dans ses publications."

 

 

Ce qui était autrefois le cas de la LCMS, ce synode pratique maintenant ce qu'ils nomment «niveaux de communion," selon l’affirmation que la communion peut être pratiquée parmi les chrétiens de différentes confessions dans certaines circonstances: telles que la communion ouverte, services œcuméniques et autres.

 

 

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12/12/2017

En France, l’islam doit être mis sous la tutelle de la puissance publique !

 

 

 
Avocat au barreau de Paris

Président du SIEL

 
 
 

                           La place de l’islam en France interroge notre société depuis  bien des années. Là où les populations de confession musulmane sont massivement concentrées, une réalité   s’impose brutalement :          l’islam contemporain s’est radicalement éloigné de la pratique religieuse discrète d’autrefois.

 

 

             L’islam ne se réduit pas à la seule foi intime de ses fidèles :

 

   Encadrant l’individu du berceau au linceul dans un ensemble de rites et de normes culturelles (charia), il refuse, en tant que  système politico-juridique, de soustraire l’espace public à son  emprise et soumet l’individu au poids dela communauté musulmane. Ce modèle de civilisation s’oppose  aux principes fondamentaux qui structurent l’univers de  pensée européen : dignité de la personne humaine, égalité entre homme et femme, liberté de conscience, sécularisation de l’espace public… La proportion croissante de populations de culture musulmane sur le territoire français rend l’assimilation de plus en plus difficile et favorise l’émergence d’une contre-société aux modes de vie radicalement étrangers à nos traditions séculaires.

 

L’islam politique compromet gravement la cohésion culturelle de notre corps social, suscite parmi nos compatriotes des angoisses identitaires durables et menace les fondements historiques de la civilisation française. En l’état, l’islam politique n’est pas soluble dans la République. Il doit donc être mis durablement sous tutelle, sans qu’il soit besoin d’étendre ce régime aux autres religions qui ne présentent aucune menace particulière. Cette entreprise délibérément autoritaire restera vaine si, parallèlement, la France ne s’attaque pas au vide spirituel et moral de notre société. Trop souvent limité aux introuvables « valeurs de la République », ce modèle sans âme, dépourvu de toute dimension charnelle, sert trop souvent de cheval de Troie à l’expansion d’un islam culturellement décomplexé. La redéfinition d’une ambition collective, qui accepterait enfin les bienfaits identitaires de notre héritage judéo-chrétien, est donc une priorité politique absolue, sans quoi notre modèle de société ne pourra redevenir le creuset d’une assimilation réussie.

 

Pour donner corps à cette ambition, le SIEL propose les 10 mesures suivantes :

 

1.Affirmation, dans le préambule de la Constitution de 1958, de la prééminence du fait culturel judéo-chrétien qui doit bénéficier d’un privilège de civilisation.

 

2. Acceptation du principe de traitement différencié du culte musulman en France, impliquant notamment de modifier en ce sens la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État.

 

3. Dissolution immédiate du Conseil français du culte musulman, incapable de se libérer de l’influence de puissances étrangères, et constitution d’une instance véritablement représentative des fidèles musulmans de France sur le modèle du Consistoire israélite, dont les membres seront désignés par la puissance publique dans les départements comme au plan national.

 

4. Moratoire applicable sur le territoire français à toute construction de mosquée et de « centres culturels », tant que la communauté musulmane n’aura pas reconnu, dans le cadre d’un accord solennel négocié avec l’instance représentative des musulmans de France, la prééminence absolue des droits, mœurs et coutumes français.

 

 

5. Fermeture des lieux de culte musulman radicaux sur simple décision administrative et expulsion immédiate des prêcheurs islamistes vers leurs pays d’origine, sur ordre préfectoral, sans possibilité de retour.

 

6. Interdiction définitive du financement direct ou indirect du culte musulman par des puissances étrangères.

 

7. Obligation, pour les imams, de soumettre le texte de leurs prêches à l’approbation de l’autorité préfectorale préalablement à leur lecture, qui devra se faire désormais en langue française.

 

8. Formation des imams dans un centre national de formation, sur la base de savoirs fondamentaux définis conjointement avec la puissance publique et contrôlés par cette dernière.

 

9. Nomination, par les préfets, des imams qui n’exerceront définitivement leur ministère qu’après une période probatoire de cinq ans et pourront se voir retirer leur agrément en cas de défaillance, à l’initiative d’un corps d’inspecteurs placé sous tutelle du ministère de l’Intérieur.

 

10. Prohibition, dans l’espace public, de tous signes ostensibles et marqueurs identitaires musulmans et interdiction des manifestations, partis et associations contraires aux valeurs fondatrices de la civilisation française

 

08/12/2017

DE LA MONTAGNE A LA FORÊT NOIRE.

 

 

 

 

 

J'ai eu une adolescence sans histoire, mais je ne trouvais pas ma voie. Le travail en usine me déplaisait. Pour assurer mon avenir, je signais un contrat d'apprenti garçon de restaurant au Grand Balcon, l'hôtel le plus huppé de Mazamet. Mon engagement lors des événements de 68 inquiéta ma famille. Mon père, militaire de carrière, pensa qu'il n'y avait rien de plus sûr que l'armée. Je signais à Toulouse en septembre de la même année un contrat de trois ans dans l'armée de l'air.

 

 

 

Je me retrouvais à faire mes classes à Nîmes Garons : un total naufrage ! L'armée, ne sachant que faire de moi, se souvint que j'avais été garçon de restaurant et m'envoya au mess des officiers en plein cœur de la forêt noire en Allemagne à Hornisgrinde. Ce fût un véritable cauchemar où j’étais isolé dans une petite station couverte de neigependant plus de six mois de l'année. Insupportable à un tel point que comme on le dit familièrement, je "pétais les plombs" au point de me faire expulser de l'armée.

 

 

 

De retour à la maison, ce fut la grande révolte. Deux mois plus tard, j'étais à l'Isle de Whight, avant de vivre toutes les dérives de ma génération.

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

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