James FOLEY décapité
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APPELS AU MEURTRE DANS LE CORAN
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Malgré la perte de ma foi, je ne crois pas qu’il me faille oublier les bonnes leçons que son enseignement m’a données. Je subodore que je ne dois pas être le seul à faire cette confession.
Bien que je me situe loin des choses de l’Église, je garde l’idée que la civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.
Sans doute ne suis-je pas, non plus, solitaire dans cette proclamation.
Cela est aussi évident que chacun de nos villages est construit autour d’une église. Cette conviction conceptuelle me laisse croire que « charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Cela est une idée chère aux chrétiens qui devrait l’être à tous.
Elle ne signifie pas que, si une douceur devait subsister, celle-ci devrait être accordée, par priorité, à la faveur de mon palais, mais, simple et pragmatique, que pour bien aimer (bien aider) les autres, il faut commencer par s’aimer soi-même. Il me paraît que cette vérité est, lentement, remplacée par l’amour de l’autre au détriment de soi. Il n’est que de considérer les excès qui touchent à l’accueil des immigrants et les conséquences néfastes de cet afflux massif.
Ce déterminisme souligne l’action irréfléchie des « politiques » répondant à l’inspiration confuse de certains, à moins qu’il ne s’agisse, plus pernicieusement, du contraire.
Cette méprise est à droite : Alain Juppé assure que l’immigration serait une chance pour notre pays (marquant un changement avec les idées qui furent les siennes). Elle est à gauche : François Hollande veut attribuer le droit de vote aux étrangers.
Chacun sait bien que « quand il y en a pour 2, il ne peut y en avoir pour 10 », donc, « quand il n’y en a pas assez pour 60 millions, il ne saurait y en avoir suffisamment pour 200.000 de plus chaque année ». Cela paraît juste évident, faut-il encore le dire et en tenir compte.
Il est insoutenable de s’obliger à des artifices grossiers pour faciliter ce changement. L’appel répété à la laïcité n’a pour but que de mettre sur un plan d’égalité les pratiques ici millénaires et celles d’une croyance venue d’ailleurs où la réciprocité est bannie. Notre comportement accort reçoit-il l’effet d’une reconnaissance ? La conduite des minorités visibles exogènes répond sans ambiguïté : Non.
La posture suicidaire de nos compatriotes, au regard de ce problème, provient d’une volonté de repentance, elle-même d’un sentiment de culpabilité, injuste. Que se reproche-t-on qui nous oblige à tant d’abnégation et d’oubli de soi ?
Il y a la colonisation, dont nulle démonstration n’a apporté la preuve de l’unicité supposée du préjudice comparé aux multiples apports.
Il y a la pratique esclavagiste qui n’est ni notre invention, ni notre apanage, tellement partagée.
Il y a l’Holocauste, le crime nazi dont il serait inique d’étendre l’opprobre sur tous.
Ainsi, devons-nous baisser la tête et renier ce que nous sommes ? Ce fatalisme prétendrait nous priver de notre identité et fouler nos valeurs ?
09:26 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
La publication de Charlie Hebdoactuellement en vente a pour couverture la caricature de Mahomet. Quoi qu’elle ne soit point obscène comme les dessins visant ignoblement les chrétiens dans les pages intérieures, c’est un crime impardonnable selon la charia et tous les musulmans la ressentent comme une injure à leur croyance et l’expriment plus ou moins fortement selon qu’ils sont ou non en pays d’islam.
Assimilant Charlie Hebdo, parce que français, à une production des chrétiens, des foules de musulmans fanatisés incendient des églises, terrorisent et assassinent nos frères chrétiens dans des pays d’Afrique et d’Asie. Or, tragique ironie, si ni le prophète ni les musulmans ne sont traités ordurièrement, ce sont les chrétiens qui le sont. Comme toujours selon le même « bas-fonds » de commerce pour satisfaire les pauvres consommateurs de l’obscénité antichrétienne. Cette fois, dans cette abjecte ignominie à 7 millions d’exemplaires, on a notamment pris pour cible sœur Emmanuelle. Et on sait à Charlie Hebdoqu’il n’y a aucun risque à publier pareilles déjections sauf celui de l’appel à la justice quand la dérision la plus ordurière devient par trop incitation à la haine.
À Paris, des dessinateurs de Charlie Hebdoont hélas payé de leur vie leur erreur d’appréciation au moment de la publication des dessins sur la vie de Mahomet il y a quelques années ; et d’autres avec eux ont été assassinés, employés et policiers et plus atrocement encore, car après les affres d’heures d’angoisse, les otages juifs.
Certes, cette idéologie totalitaire de l’islam dit radical, qui est hélas si souvent l’islam réel, on doit pouvoir, dans la liberté, l’analyser, la refuser et lui résister autant qu’aux autres totalitarismes. Et dénoncer la venimeuse imputation d’islamophobie par les nouveaux munichois. Mais était-il utile, était-il responsable de provoquer une deuxième fois la récupération par les plus extrémistes de l’indignation obligatoire de tous les croyants ?
Les rescapés du massacre ont à l’évidence cru qu’une gentille caricature du messager d’Allah, avec un gentil mot de pardon, ça pourrait passer. Or, ça ne pouvait pas passer ! Sauf chez nous pour les ondoyants artistes du double langage du Conseil français du culte musulman, celui d’un islam « patte blanche ».
Mais là où l’islam règne, ce sont les chrétiens de la dhimmitude qui trinquent, dans l’indifférence complice des États.
Alors que, sous prétexte de lutter contre l’islamophobie, le gouvernement interdit à certains leur liberté d’expression contre l’islamisme, il aurait été avisé de se soucier des nouveaux drames que pourrait entraîner celle de Charlie Hebdo, drôle de liberté à irresponsabilité illimitée !
À Chrétienté-Solidarité, avec nos frères convertis, anciennement musulmans, nous affirmons que c’est par la foi et par la raison que l’on doit relever le défi de l’islam. Dans le respect de toutes les personnes pacifiques.
Et nous nous élevons contre l’incroyable expression de mépris raciste manifestée sur France Inter par le chroniqueur de la revue de presse. Ce dernier ose proférer que, somme toute, les manifestations musulmanes antichrétiennes n’ont pas causé beaucoup de dégâts : « Quelque dix morts à peine »…
En effet, ce ne sont que dix morts chrétiens et africains…
09:49 Publié dans Eglise | Lien permanent | Commentaires (0)
On pourrait paraphraser la chanson célèbre de Guy Béart : « Le pasteur a dit la vérité, il doit être exécuté »…
Dans son homélie du dimanche 18 janvier dernier, le pasteur luthérien évangélique Olaf Latzel a commenté à ses fidèles de la St. Martini-Gemeinde de Brême, capitale du Land éponyme d’Allemagne, le passage suivant du Livre des Juges : « Lorsque l’Éternel leur suscitait des juges, l’Éternel était avec le juge, et il les délivrait de la main de leurs ennemis pendant toute la vie du juge; car l’Éternel avait pitié de leurs gémissements contre ceux qui les opprimaient et les tourmentaient » (2, 18). Commentant un autre passage du Livre des Juges (6, 25) dans lequel le Tout-Puissant invite Gédéon à détruire l’autel que son père avait élevé à Baal, à le purifier par un sacrifice et à y élever l’autel de l’Éternel, le pasteur Latzel a osé rappeler à ses ouailles qu’on ne pouvait pas gommer les différences entre le christianisme et l’islam : « Il n’y a qu’un seul Dieu. Nous n’avons pas de point commun avec l’islam ». Il rappela qu’il ne pouvait pas y avoir de prière commune entre chrétiens et musulmans : « C’est un péché et cela ne devrait pas avoir lieu. Et de cela, nous devons nous purifier ». Et pour couronner le tout il asséna que « L’islam n’appartient pas à l’Allemagne ». Que n’avait-il pas dit ! Le parquet a ouvert une information. Le maire socialiste (SPD) de Brême, Jens Böhrnsen, a condamné ce sermon véritable « appel à la guerre de religion ». Le directeur de Radio Bremen, Jochen Grabler, a appelé les protestants de Brême à « se soulever » contre ce « prédicateur de la haine », etc. Le pasteur, pour ce qui le concerne, entend demeurer ferme dans sa foi et fidèle au premier Commandement : « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ». Il a déclaré : « [J’ai un] devoir envers mon Seigneur et mon Sauveur Jésus-Christ. C’est devant lui que j’ai à me justifier ».
Source : Politically Incorrect (en allemand, 30 janvier)
10:02 Publié dans Eglise | Lien permanent | Commentaires (0)
Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis, né en 742 et mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu’il n’en est pas le fondateur : les Carolingiens.
Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de 768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le 25 décembre 800, relevant une dignité disparue depuis l’an 476 en Occident
Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission a été très difficile et violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les Musulmans d’Espagne.
Souverain réformateur, soucieux d’orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l’origine de la « renaissance carolingienne ».
Son œuvre politique immédiate, l’empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, Charlemagne prévoit dès 806 le partage de l’Empire entre ses trois fils. Après de nombreuses péripéties, l’empire ne sera finalement partagé qu’en 843 entre trois de ses petits-fils (traité de Verdun).
09:34 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
James FOLEY décapité
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01:25 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (1)