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06/02/2015

Chrétiens assassinés : merci Charlie !

 

 
 
 
Là où l’islam règne, ce sont les chrétiens de la dhimmitude qui trinquent, dans l’indifférence complice des États.
 
 
 

 
 
 
Président de l'Agrif et Président de Chrétienté-Solidarité
        
 
 
 
 
 

La publication de Charlie Hebdoactuellement en vente a pour couverture la caricature de Mahomet. Quoi qu’elle ne soit point obscène comme les dessins visant ignoblement les chrétiens dans les pages intérieures, c’est un crime impardonnable selon la charia et tous les musulmans la ressentent comme une injure à leur croyance et l’expriment plus ou moins fortement selon qu’ils sont ou non en pays d’islam.

 

 

Assimilant Charlie Hebdo, parce que français, à une production des chrétiens, des foules de musulmans fanatisés incendient des églises, terrorisent et assassinent nos frères chrétiens dans des pays d’Afrique et d’Asie. Or, tragique ironie, si ni le prophète ni les musulmans ne sont traités ordurièrement, ce sont les chrétiens qui le sont. Comme toujours selon le même « bas-fonds » de commerce pour satisfaire les pauvres consommateurs de l’obscénité antichrétienne. Cette fois, dans cette abjecte ignominie à 7 millions d’exemplaires, on a notamment pris pour cible sœur Emmanuelle. Et on sait à Charlie Hebdoqu’il n’y a aucun risque à publier pareilles déjections sauf celui de l’appel à la justice quand la dérision la plus ordurière devient par trop incitation à la haine.

 

 

À Paris, des dessinateurs de Charlie Hebdoont hélas payé de leur vie leur erreur d’appréciation au moment de la publication des dessins sur la vie de Mahomet il y a quelques années ; et d’autres avec eux ont été assassinés, employés et policiers et plus atrocement encore, car après les affres d’heures d’angoisse, les otages juifs.

 

Certes, cette idéologie totalitaire de l’islam dit radical, qui est hélas si souvent l’islam réel, on doit pouvoir, dans la liberté, l’analyser, la refuser et lui résister autant qu’aux autres totalitarismes. Et dénoncer la venimeuse imputation d’islamophobie par les nouveaux munichois. Mais était-il utile, était-il responsable de provoquer une deuxième fois la récupération par les plus extrémistes de l’indignation obligatoire de tous les croyants ?

 

Les rescapés du massacre ont à l’évidence cru qu’une gentille caricature du messager d’Allah, avec un gentil mot de pardon, ça pourrait passer. Or, ça ne pouvait pas passer ! Sauf chez nous pour les ondoyants artistes du double langage du Conseil français du culte musulman, celui d’un islam « patte blanche ».

 

 
 

Mais là où l’islam règne, ce sont les chrétiens de la dhimmitude qui trinquent, dans l’indifférence complice des États.

 

Alors que, sous prétexte de lutter contre l’islamophobie, le gouvernement interdit à certains leur liberté d’expression contre l’islamisme, il aurait été avisé de se soucier des nouveaux drames que pourrait entraîner celle de Charlie Hebdo, drôle de liberté à irresponsabilité illimitée !

 

À Chrétienté-Solidarité, avec nos frères convertis, anciennement musulmans, nous affirmons que c’est par la foi et par la raison que l’on doit relever le défi de l’islam. Dans le respect de toutes les personnes pacifiques.

 

Et nous nous élevons contre l’incroyable expression de mépris raciste manifestée  sur France Inter  par le chroniqueur de la revue de presse. Ce dernier ose proférer que, somme toute, les manifestations musulmanes antichrétiennes n’ont pas causé beaucoup de dégâts : « Quelque dix morts à peine »

En effet, ce ne sont que dix morts chrétiens et africains…

 

09:49 Publié dans Eglise | Lien permanent | Commentaires (0)

03/02/2015

Allemagne : un pasteur luthérien voué aux gémonies…

On pourrait paraphraser la chanson célèbre de Guy Béart : « Le pasteur a dit la vérité, il doit être exécuté »

 

 

 

Dans son homélie du dimanche 18 janvier dernier, le pasteur luthérien évangélique Olaf Latzel a commenté à ses fidèles de la St. Martini-Gemeinde de Brême, capitale du Land éponyme d’Allemagne, le passage suivant du Livre des Juges : « Lorsque l’Éternel leur suscitait des juges, l’Éternel était avec le juge, et il les délivrait de la main de leurs ennemis pendant toute la vie du juge; car l’Éternel avait pitié de leurs gémissements contre ceux qui les opprimaient et les tourmentaient » (2, 18). Commentant un autre passage du Livre des Juges (6, 25) dans lequel le Tout-Puissant invite Gédéon à détruire l’autel que son père avait élevé à Baal, à le purifier par un sacrifice et à y élever l’autel de l’Éternel, le pasteur Latzel a osé rappeler à ses ouailles qu’on ne pouvait pas gommer les différences entre le christianisme et l’islam : « Il n’y a qu’un seul Dieu. Nous n’avons pas de point commun avec l’islam ». Il rappela qu’il ne pouvait pas y avoir de prière commune entre chrétiens et musulmans : « C’est un péché et cela ne devrait pas avoir lieu. Et de cela, nous devons nous purifier ». Et pour couronner le tout il asséna que « L’islam n’appartient pas à l’Allemagne ». Que n’avait-il pas dit ! Le parquet a ouvert une information. Le maire socialiste (SPD) de Brême, Jens Böhrnsen, a condamné ce sermon véritable « appel à la guerre de religion ». Le directeur de Radio Bremen, Jochen Grabler, a appelé les protestants de Brême à « se soulever » contre ce « prédicateur de la haine », etc. Le pasteur, pour ce qui le concerne, entend demeurer ferme dans sa foi et fidèle au premier Commandement : « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ». Il a déclaré : « [J’ai un] devoir envers mon Seigneur et mon Sauveur Jésus-Christ. C’est devant lui que j’ai à me justifier ».

 

Source : Politically Incorrect (en allemand, 30 janvier)

10:02 Publié dans Eglise | Lien permanent | Commentaires (0)

30/01/2015

28 janvier : mort de Charlemagne, roi de France, empereur d’Occident:

 

 

 

 

 

Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis, né en 742 et mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu’il n’en est pas le fondateur : les Carolingiens.

 

 

 

Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de 768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le 25 décembre 800, relevant une dignité disparue depuis l’an 476 en Occident

 

 

Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission a été très difficile et violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les Musulmans d’Espagne.

 

 

 

 

 

 

 

Souverain réformateur, soucieux d’orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l’origine de la « renaissance carolingienne ».

 

 

 

Son œuvre politique immédiate, l’empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, Charlemagne prévoit dès 806 le partage de l’Empire entre ses trois fils. Après de nombreuses péripéties, l’empire ne sera finalement partagé qu’en 843 entre trois de ses petits-fils (traité de Verdun).

 

09:34 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

27/01/2015

Islam : la mort sûre !

 

 

James FOLEY décapité

 

 

A
vec l’assassinat de Hervé GOURDEL, la religion dite « de paix, d’amour et de tolérance » vient encore de montrer de quoi sont capables ses « fidèles guerriers ».
Néanmoins, dans le déni de vérité le plus total, les milieux politico médiatiques n’ont de cesse de nous rabâcher que « les actes terroristes islamiques n’ont rien à voir avec l’islam véritable. » Jusqu’où s’abaisseront-ils donc pour acheter ce qu’ils croient être « la paix sociale » ?...
 
Vous trouverez sur Internet nombre de textes comme celui qui suit (Yahoo) et qui vous indiqueront ce qu’ordonne réellement le coran. Naturellement, vous y trouverez également des articles écrits par des musulmans qui, eux, vous expliqueront doctement qu’il faut « lire ce livre dans un certain contexte et ne pas prendre tout au pied de la lettre ». La « taqqya« est toujours à l'œuvre...
 
 
Alors, voici tout de même un petit florilège des gentillesses écrites dans le « livre sacré ». Mais, bien entendu, il ne faut pas tout prendre « au pied de la lettre«  pour ne pas… discriminer !¢


APPELS AU MEURTRE DANS LE CORAN
 
 
[2:191] Et tuez-les (les incroyants, infidèles ou mécréants), où que vous les rencontriez; et chassez-les d’où ils vous on chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
 
 
[4:89] Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur.
 
 
[4:91] Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu’on les pousse vers l’association (l’idolâtrie) ils y retombent en masse. (Par conséquent,) s’ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné une autorité manifeste.
 
 
[5:33] La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
 
 
[8:12] Et ton Seigneur révéla aux anges: « Je suis avec vous : affermissez donc les Croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous (décapitation) et frappez-les sur tous les bouts des doigts.
 
 
[8:17] Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais : mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient. Autrement dit c’est l’absolution par avance pour un meurtrier pour peu qu’il tue un infidèle au nom d’Allah.
 
 
[9:5] Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salât et acquittent la Zakát, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
 
 
[17:33] Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu’Allah a rendu sacrée. Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche [parent]. Que celui-ci ne commette pas d’excès dans le meurtre, car il est déjà assisté (par la loi : donc, selon le Coran il existe des raisons tout à fait valables, conformes au droit, de tuer).
 
 
 
[33:61] Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement.
 
 
[47:4] Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru, frappez-en les cous (décapitation). Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions.
 
 
HAINE CONTRE LES JUIFS, LES CHRÉTIENS ET LES INFIDÈLES DANS LE CORAN
 
 
[5:51] Ô les croyants! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.
 
 
[9:30] Les Juifs disent : « Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ?
 
 
[5:14] Et de ceux qui disent: « Nous sommes Chrétiens », Nous avons pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Nous avons donc suscité entre eux l’inimitié et la haine jusqu’au Jour de la Résurrection. Et Allah les informera de ce qu’ils faisaient.
 
 
« Le  culte est dit : Amen !... »¢
 
 

24/01/2015

Ordre des Chevaliers Teutoniques (2)

      

Le déclin de l'ordre:

Bataille de Grunwald (ou de Tannenberg), le 15 juillet 1410
L'État teutonique à son apogée vers 1410

La consolidation et l'émergence au sud du royaume de Pologne, christianisé et uni depuis 1386 au grand-duché de Lituanie par mariage dynastique, menacent directement la suprématie des chevaliers dans la région.

Le tournant est atteint lorsque la crise larvée entre les deux ennemis héréditaires éclate en 1410. La bataille de Grunwald (ou de Tannenberg) voit une coalition lituano-polonaise dirigée par le roi Ladislas II Jagellon écraser l'armée des Teutoniques. La bataille se solde par plus de 13 000 morts dans les rangs de l’Ordre, parmi lesquels le grand maîtreUlrich von Jungingen.

La contre-offensive polonaise est arrêtée par le commandeur de Schwetz, Heinrich von Plauen qui, en s’enfermant au château de Marienbourg, résiste pendant deux ans à toutes leurs attaques. Le traité de Thorn (Toruń, en polonais) restaure une situation proche du statu quo ante bellum (même situation qu'avant la guerre), imposant seulement aux assiégés une amende et la cession de territoires peu étendus.

Une guerre civile se produit au début de la deuxième moitié du XVe siècle. Les adversaires des chevaliers se tournent vers le roi Casimir IV de Pologne en 1454. Marienbourg est définitivement investie par les Polonais cette même année, lorsque le grand maître est obligé de vendre le château de cette ville pour éponger les dettes de l'ordre et de son administration. Le grand maître se réfugie alors à Königsberg qui devient ainsi la nouvelle capitale.

L'État teutonique en 1466

À l’issue de la guerre de Treize Ans, le second traité de Thorn (1466) cède la Prusse royale (partie ouest) et la ville de Dantzig à la Pologne, et fait de l’État teutonique un vassal de cette dernière. Les chevaliers ne disposent plus à ce moment que de la Prusse originelle (partie est), sur laquelle ils ne sont que partiellement souverains, puisque vassaux des Polonais. Ce dernier revers ne fait que confirmer l’inéluctable décadence de l'ordre.

En 1525, le grand maître de l'Ordre, Albert de Brandebourg-Ansbach, adoptant les recommandations de Luther, quitta l'état religieux et transforma le patrimoine de sa communauté en une principauté qui devint le berceau de l'État prussien. Une partie des chevaliers, restés catholiques, décident d’élire leur propre grand maître - Walter de Cronberg - et intentent un procès contre Albert de Brandebourg qui est mis au ban du Saint-Empire. Ils transfèrent leur siège à Mergentheim en Franconie et se réimplantent dans le Saint-Empire romain germanique.

En 1805, Napoléon accorde le droit, par le traité de Presbourg, à l’empereur d’AutricheFrançois Ier de nommer comme grand maître un prince de sa famille, à qui reviennent tous les revenus de l’organisation. Le 24avril1809, à Ratisbonne (Bavière), l’empereur des Français prononce sa dissolution. Désormais, seules subsistent quelques commanderies isolées en Autriche et à Utrecht. Un semblant d’ordre est rétabli en 1834, mais il reste exclusivement sous tutelle autrichienne.

L’ordre aujourd'hui:

Armoiries du grand maître de l'ordre Teutonique

L'ordre reçoit sa forme actuelle en 1929 : il devient un institut religieux clérical de droit pontifical.

Avant la Seconde Guerre mondiale, Adolf Hitler tente de récupérer l'image historique des chevaliers teutoniques pour exacerber le sentiment d'identité nationale. En effet leur passé de "conquérant des peuples slaves" est utile dans une propagande anticommuniste et qui souligne la supposé supériorité des races germaniques sur les races slaves. Par la suite, il prend des mesures restrictives contre ce qui reste de l'ordre teutonique, notamment par des saisies de biens, de terres, et en emprisonnant le grand maître. Il les suppose allié des juifs et des francs-maçons et cherche donc à les détruire.

Malgré les brimades, les chevaliers vont continuer pendant la guerre à soigner les blessés de tous les clans et de toutes les nations, ils cacheront aussi bien des enfants juifs que des partisans communistes et ils veilleront à ce que les soldats de la Wehrmacht aient droit à des procès équitables en 1945, ils éviteront à beaucoup d'être exécutés sommairement

Les Teutoniques se décrivent aujourd'hui ainsi : « La véritable chevalerie n'est pas déterminée sous la forme d'une épée de combat qui est dépassée aujourd'hui, mais plutôt par l'engagement au Christ Roi, la protection et la défense des victimes, opprimées, méprisées et des nécessiteux. Cette attitude est la recherche des actuels frères, sœurs et familiers de l'ordre Teutonique, fidèle à la devise d’aider et de guérir ensemble ».

Les chevaliers teutoniques sont aujourd'hui environ un millier :

  • 100 frères (dont certains sont aussi prêtres), liés par les trois voeux de chasteté, de pauvreté et d'obéissance.
  • 200 sœurs
  • 700 affiliés, ou « familiers », ou « Marians », laïques ou d'état ecclésiastique, qui cherchent à entériner les efforts de l'ordre pour promouvoir son entreprise et à réaliser ses idéaux.

L'ordre a aussi le droit d'inclure dans les provinces des oblats ou oblates.

La communauté est divisée en provinces, bailliages et commanderies (pour les familiers).

En 1957, l'ordre a acheté une maison à Rome qui est le siège du Procureur général de l'ordre, et qui sert aussi de maison d'hôtes.

Les frères et sœurs sont réparties à travers cinq provinces : l'Autriche, le Tyrol du Sud, l'Italie, la Slovénie, l'Allemagne et la République tchèque et la Slovaquie.

Les familiers sont répartis dans les bailliages et commanderies suivants : Allemagne, Autriche, Tyrol du Sud, "ad Tiberim" à Rome, le Bailliage de la République tchèque et de la Slovaquie, et dans la commanderie indépendante d'Alden Biesen en Belgique; il y a aussi des familiers dispersés dans d'autres pays.

Le grand maître est aujourd'hui supérieur général et chef suprême de l'ordre. Il reçoit après son élection la consécration d'abbé épiscopal et possède le rang d'évêque, privilège qui est accordé à l'Ordre teutonique depuis 1933. Depuis 1923, la Grande Maitrise est exercée par des prêtres qui sont élus pour six ans par les frères et sœurs délégués au chapitre général.

Hiérarchie de l'ordre teutonique:

            Chapitre général    
 
                   
 
    Ratsgebietiger   Grand-maître
  Chancellerie  
   
                                         
                                         
Grand-commandeur   Grand-maréchal     Grand-hospitalier   Grand-trésorier   Grand-commissaire  
 
                                               
                                 
                                 
                         
  Maître
de Germanie
    Maître
de Livonie
    Maître
de Prusse
 
 
                                 
 
  Bailli                        
 
                                 
 
  Commandeur     Commandeur     Commandeur  
 

 

 

                                                  

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