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10/06/2014

Affiche Leclerc

 
 
 
 

 l’AGRIF dénonce sa « perversité »

 

 

 

Voici un communiqué d’hier de l’AGRIF sur l’affiche triviale et scandaleuse des Espaces Culturels Leclerc, qui annonce une initiative.

 

 

 

L’AGRIF condamne la perversité de la manière avec laquelle l’entreprise Leclerc fait la promotion de ses produits dans le métro parisien. Une fois de plus, on use de la dérision antichrétienne pour nous camper un tableau où l’on voit le Christ attablé et l’inscription : « Ok, c’est moi qui coupe le poulet ? ». Cela constitue indéniablement une dégradation radicale de l’image de marque « Leclerc », et nous sommes certains que les chrétiens, bafoués dans leurs convictions, sauront en tirer les conclusions qui s’imposent… L’AGRIF va saisir la régie publicitaire de la RATP et le service marketing Leclerc à propos de ces insultes à caractère discriminatoire qui portent atteinte au respect dû aux convictions religieuses. Nous invitons les militants de l’AGRIF et tous les chrétiens à exprimer leur indignation auprès de cette entreprise jadis connue pour son caractère social-chrétien voulu par son fondateur. Pour contacter le service Marketing de Leclerc : 01 49 87 41 55

 

 

Source : AGRIF

 

 

j’apprends qu’on peut toucher la chaîne Leclerc par courriel. C’est ici !

 

 

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10:25 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

06/06/2014

Quelles leçons pour l’action prendre chez nos adversaires ?

 

Pour Jean Ousset dans les principes fondamentaux de son livre l'Action,  on ne peut combattre la subversion avec les moyens qu’elle emploie. Mais les révolutionnaires nous donnent l’exemple d’actions coordonnées, sans structure unique, rigide et vulnérable qui les englobe.

 

L’erreur n’est-elle pas fréquente d’employer au service d’une fin des méthodes ou des moyens pratiquement conçus pour une fin contraire ? Est-il surprenant que les résultats soient décevants ?

A penser l’action sans prendre garde à la fin spécifique des méthodes qu’on préconise, on ne peut que favoriser en effet ce culte du pragmatisme-roi, qui constitue l’essentiel du marxisme…

 

Agir comme les marxistes ? C’est déjà être marxiste. Même si l’on combat le marxisme….

Ce qui pourrait nous être une leçon nous est, par contre, fort mal connu, c’est-à-dire le souci d’un travail en profondeur ; un sens aigu de l’action par les idées ; un très grand soin dans la formation des cadres, une volonté, ridicule tant elle est extrême, (caractéristique pourtant) de « penser » l’action « scientifiquement »…

 

 

C’est le seul profit que nous puissions tirer de l’exemple révolutionnaire. Un profit d’émulation, d’excitation, d’alerte. L’analogie d’une certaine ardeur…

Sans oublier telles pages de Mao-Tsé-Toung qui n’ont rien de spécifiquement subversif au contraire !

 

Dans ces pages sont impitoyablement dénoncés l’élan anarchique, l’irréflexion, l’imprudence, le subjectivisme dans l’action, l’aventurisme, le putchisme ! Combien nous serait profitable la lecture de ces chapitres de Mao !

Autant de faits, non essentiellement révolutionnaires, dont nous aurions intérêt à tirer profit, mais auxquels nous refusons de prendre garde.

 

Ce qui fait que nous ignorons… et la doctrine d’action qui devrait être la nôtre… et ce qui pourrait, quand même, nous éclairer dans l’exemple de l’adversaire.

 

Reste qu’on ne saurait s’y prendre pour construire comme on s’y prend pour démolir.

Car la Révolution, elle, démolit, en ce sens qu’elle dialectise, exploite, entretient, provoque les contradictions sociales. Telle est l’action normale de la Révolution. Action qui tend à réaliser un déboisement social. Action niveleuse, atomisante, par étouffement progressif des corps intermédiaires. Action qui n’a cessé d’ouvrir les voies à un totalitarisme d’Etat plus tyrannique chaque jour…

 

D’où le propos de Joseph de Maistre sur la contre-Révolution : « Elle doit être le contraire de la Révolution. Non une révolution contraire. C’est dire qu’il lui faut renouer les liens sociaux au lieu de les briser, qu’elle doit exercer une action coordinatrice en sens inverse de l’action désorganisatrice de la Révolution ».

 

Ce qui dispense d’insister pour faire entendre qu’une pareille opposition, dans l’ordre des FINS, interdit, dans l’ordre des MOYENS, l’emploi des mêmes façons d’agir.

 

 

Lire et télécharger dans son intégralité le premier chapitre de l'Action de Jean Ousset.

 

Au moment où des Français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en œuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

 

Le Salon Beige

 

09:43 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/06/2014

Hitler et Mélenchon :

 
 

 Christianophobie et fascination de l’islam

 

 

 

 

 

 

 

Je suis allé, bien entendu, vérifier l’authenticité de ces deux citations : elles sont exactes. Celle d’Adolf Hitler date du 28 août 1942 et on pourra la retrouver dans l’ouvrage Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann (Flammarion, 1954). Celle de Jean-Luc Mélenchon est du 9 mai 2011 : il l’a proférée dans l’émission « Répliques » sur France Culture. Il est troublant de constater que deux hommes politiques qu’apparemment tout semblerait opposer – hormis le fait que l’un et l’autre ont adhéré à la doctrine socialiste – se retrouvent dans leur commune détestation du christianisme et leur commune fascination pour l’islam…

 

 

 

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30/05/2014

29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

 

 

 

Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople.
Celle-ci fut accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.
Ce n’était que le début d’une longue nuit d’esclavage et de destruction culturelle.

 

 

« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

 

‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

 

… Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

 

Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

 

Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.

 

Mehmet avait ordonné que les familles des dignitaires grecs soient réduites à la plus dure et à la plus humiliante des servitudes. Il s’était fait réserver les filles les plus belles et les plus jeunes adolescents et il fit don de quarante très jeunes gens et de quarante vierges au pacha de Babylone. D’autres enfants grecs furent envoyés jusqu’à Tunis et à Grenade.

 

… Les habitants de Constantinople échappés aux massacres et à l’esclavage avaient fui. Ce n’était plus qu’une ville en grande partie dévastée et vide d’hommes.

 

… La chute de l’Empire byzantin marquait la fin d’un monde et jetait à bas l’héritage de l’antique Rome ».

 

Rappelons que Mehmet II (Mohamed II) ne rêva « que d’entrer en maître dans cette Constantinople chrétienne, qu’il voulait capitale de l’Islam. Ce jeune homme cultivé,… ami des arts et des lettres, avait fait massacrer ses frères en bas âge et faisait, à chaque campagne, scier en deux ou empaler les chefs ennemis prisonniers« .

 

Source : Jacques Heers, Chute et mort de Constantinople, Perrin, Collection Tempus, Paris 2007, p. 239, 252-259.
Un livre que l’on peut acquérir en ligne ici.
Il y a aussi Constantinople, la perle du Bosphore, de Jean Castrillo.

Source

constantinople

 

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27/05/2014

Un gouvernement de lâches

 

 

Communiqué de la Fondation Lejeune :

"Après l’échec d’une tentative des radicaux de gauche en mars, le gouvernement s’obstine et a remis à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi visant la libéralisation de la recherche sur l’embryon humain en France.

 

Examiné  en catimini, à la veille des vacances parlementaires, le texte ne fait pas l’objet du débat qu’il mérite. Mutisme de la ministre et du rapporteur, réserve de vote, absence des partisans du texte sur les bancs de l’hémicycle : le débat est tronqué alors que le Parlement s’apprête à entériner le bouleversement du droit, celui de chaque être humain à être protégé dès le commencement de sa vie (art. du Code civil). Les opposants à la recherche sur l’embryon humain, députés ou simples citoyens, peuvent s’indigner de la tournure que prend le simulacre de débat à l’Assemblée nationale.

Après avoir non seulement refusé de répondre à la seconde motion déposée par les défenseurs du régime actuel, la ministre a finalement décidé d’utiliser la réserve de vote pour vider de son intérêt tout examen des amendements. En effet, les opposants au texte ont le droit de défendre point par point chaque amendement à ceci près qu’aucun n’est plus soumis au vote. La manœuvre présente deux avantages que la ministre ne prend même pas la peine de maquiller : d’une part, elle permet à tous les partisans du texte de tranquillement quitter l’hémicycle et de se soustraire au débat puisqu’aucun vote n’aura lieu avant le vote solennel global de mardi, d’autre part, elle évite le risque qu’un des amendements ne soit adopté ce qui changerait, même à minima, le texte et obligerait à une navette avec le Sénat. [...]

La suite sur La Fondation Jérôme Lejeune

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