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15/05/2018

COLLABOS:

 

 

 

 

SCANDALE PÉDOPHILE DE TELFORD : POUR L’OBS, C’EST EMBÊTANT CAR CELA FAIT « LE MIEL » DE LA « FACHOSPHÈRE »

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

Officine progressiste où se concoctent des mixtures idéologiques destinées au plaisir sadomasochiste des Blancs qui se sentent ontologiquement coupables, L’Obs vient encore de sévir en titrant « Le scandale de pédophilie de Telford fait le miel de la fachosphère ».

 

 

 

Donc, au lieu de compatir pour les victimes de ce durable réseau de pédophilie en Grande-Bretagne, L’Obs préfère pointer du doigt la « fachosphère », qui s’en est légitimement émue quand le silence faussement pudique des médias relevait non seulement de la faute journalistique, mais encore d’une autocensure, les responsables de cette abomination étant sans doute immaculés par leur origine non blanche et ne pouvant être balancés parce qu’ils n’aiment pas le porc !

 

 

 

L’hebdomadaire accuse ainsi le « tweet outré de Gilbert Collard, plusieurs billets caricaturaux sur plusieurs sites d’extrême droite, et une tribune dans le FigaroVox », à savoir celle de Gilles-William Goldnadel qui, fort justement, « évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler ».

 

 

 

L’Obs ne s’arrête pas en si bon chemin et pinaille sur le nombre de victimes du réseau pédophile, estimé à environ un millier par le Sunday Mirror – qui a révélé ces crimes après une longue enquête –, rapportant de son côté, comme caution morale, les doutes d’un officier de police – laquelle, police, n’a pas vraiment brillé dans cette affaire de plus de trente ans – qui a déclaré à la BBC : « J’ai des inquiétudes sur le nombre de 1.000 car je ne sais pas sur quoi il se base et surtout parce que nous travaillons avec un nombre de jeunes personnes qui ont été victimes d’abus sexuels depuis plusieurs années, et il n’est pas du tout proche de 1.000. »

 

 

 

Et de retranscrire, avec des pincettes, les propos de Lucy Allan, députée conservatrice de Telford – « Ces jeunes filles étaient très souvent issues de la classe ouvrière blanche, souffrant de fragilités multiples et c’est pour cela que leurs agresseurs les ciblaient » –, et ceux du Sunday Mirror – désignant les responsables de ces crimes comme étant « majoritairement des hommes asiatiques », issus notamment « de la communauté pakistanaise », et affirmant que « les autorités locales n’auraient pas tenu de dossiers sur certains agresseurs, issus de la communauté pakistanaise, “par crainte de racisme” ». Autant de propos qui semblent destinés à horrifier le lectorat de L’Obs et décrédibiliser leurs auteurs.

 

 

 

Enfin, L’Obs prétend avec force que les faits n’ont pas été passés sous silence, soulignant que Libé Désintox – autre décodeur de la bonne pensée – a joint la BBC, qui va dans son sens. Chacun jugera en constatant la couverture médiatique a minima d’un scandale à contre-courant du vivre ensemble.

 

 

 

À l’instar d’une Clémentine Autain obsédée par le mâle blanc dominant, L’Obs ne saurait-il admettre qu’il existe bel et bien des prédateurs sexuels en dehors de chez les visages pâles ?

 

 

Si la honte était une ivresse, nombre de journalistes auraient une cirrhose !

 

 

09:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

11/05/2018

LA QUESTION HOMOSEXUELLE:

 

 

 

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Au regard du débat ouvert par l'Eglise Protestante unie, pour la défense de la famille tel que l'Eglise Chrétienne depuis les origines la enseignée, en tant que Pasteur Luthérien conservateur (traditionaliste), je ne peux que réaffirmer mon opposition à l'homosexualité et au mariage gay. En cela, je ne fais que donner ma position, dans le respect de toutes les opinions. Je ne prétends imposer la mienne à qui que ce soit. Comment justifier ma démarche, si ce n'est en m'appuyant sur la Bible (libre à chacun de penser ce qu'il veut à ce sujet), pour les Ecritures Saintes l'homosexualité n'est pas une affaire privée, mais un péché, un affront à Dieu, qui a demandé à Adam et Eve de "se multiplier" et de "remplir la terre(Genèse 1.28).

 

 

L'épisode de Sodome et Gomorrhe montre que Dieu considère l'homosexualité comme un péché si grave qu'il en détruisit ces villes (Genèse 19.1-29). A quoi fait écho "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une horrible pratique.(Lévitique 18.22). L'apôtre Paul ajoute "ni les débauchés, ni les dépravés, ni les homosexuels n'hériteront du royaume de Dieu(1 Corinthiens 6.9-10).

 

 

Les psychologues Elisabeth Moberly et Joseph Nicolosi contestent l'argument selon lequel le comportement homosexuel est déterminé par des facteurs biologiques et génétiques. Pour eux, l'homosexualité est le résultat d'une "sur-identification" à la mère, due à l'absence physique ou morale du père, dans les relations parents/enfants vécues dans la petite enfance. Le lesbianisme résulterait principalement d'abus sexuels ou de l'incapacité d'une mère à jouer son rôle. Ces psychologues vont jusqu'à affirmer que l'homosexualité peut se guérir par un programme de thérapie réparatrice.

 

 

Ces hypothèses sont à vérifier. En les exposant, je n'ai voulu que donner un point de vue, dans ce grand enjeu moral et national.

 

Pasteur  Blanchard

09:28 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

01/05/2018

CULTURE DE MORT:

 

 

L’AVORTEMENT VU PAR ARTE, C’EST LA PRAVDA RESSUSCITÉE

 

 

 
 
 
 
 
 

Avortement, les croisés contre-attaquent est un documentaire d’Alexandra Jousset et Andrea Rawlins-Gaston récemment diffusé sur Arte« fruit d’une remarquable enquête d’un an dans des pays où l’IVG est légale […], ce film à voir absolument aurait pu aussi s’appeler “Demain nos filles pourront-elles avorter ?” », selon Elle, magazine féminin surtout connu pour son sens de l’analyse des dernières tendances vestimentaires !

 

 

 

Sauf que le documentaire en question est partisan de bout en bout. Cela dit sans être, pour ma part, un opposant à l’avortement, tout en déplorant qu’il soit à ce point banalisé, car ce n’est définitivement pas un acte banal.

 

 

 

Dès le titre, on subodore que les chrétiens vont en prendre plein la tête, ce qui sera le cas, depuis les catholiques jusqu’aux évangélistes, en passant par les orthodoxes, nouvel axe du Mal pour les progressistes. Quant au choix du terme « croisés », c’est ainsi que les djihadistes appellent les Occidentaux. On en tremblerait presque !

 

 

D’où qu’ils viennent, les défenseurs de la vie sont donc ostracisés. On parle, ainsi, d’une « communication aux limites de la manipulation » à propos des Survivants – groupe fondé par le publicitaire Émile Duport – quand, dans les rames du métro parisien, ils placardent des affiches pour défendre leurs convictions, comme le font les antifas – mais en plus propre et moins violent.

 

 

 

 

Malencontreusement, les auteurs finissent même par donner raison à leurs adversaires quand, d’un côté, ils fustigent le programme de préservation de la maternité en Russie – à l’initiative de l’oligarque Konstantin Malofeev, mal vu de l’Union européenne – avec la mise en place de maisons des mamans à destination des femmes enceintes et des mères fragilisées, et, de l’autre, filment Valentina, une jeune Italienne qui avoue avoir avorté parce qu’elle n’avait précisément pas les moyens d’élever un enfant : « À l’époque, je n’ai pas de maison, j’habite chez mes parents, je n’ai pas de travail, je suis étudiante. […] Le garder signifiait abandonner mes études et même sacrifier ma vie. » Ce qui démontre que l’absence d’aide matérielle a à voir avec l’avortement.

 

 

 

 

On peut, certes, déplorer des initiatives détestables comme, à Turin, celle consistant à enterrer des fœtus en inscrivant la date de l’avortement et le nom de la mère mais, pour faire contrepoids, il eût été bon d’évoquer l’eugénisme et son fantasme de perfection, ou la corrélation entre les avortements et l’immigration en Europe. Autant de problématiques « réactionnaires » qui méritaient d’être étudiées dans le cas d’un travail objectif. Au lieu de cela, pendant une heure et demie, on assiste à une mise en accusation des défenseurs de la vie, lesquels seraient tous des fanatiques en puissance.

 

 

 

 

Conclusion : ce documentaire est exclusivement pro-avortement, pro-Union européenne et pro-migrants, comme l’atteste un discours jugé « inquiétant » de Viktor Orbán autour de la pression migratoire que subit l’Europe et qui menace son intégrité culturelle.

 

 

 

 

11:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

24/04/2018

Vous rigolez des homos et des travestis en privé :

 

 

 

 

 

 Avec Macron, ce sera la taule !

 

 


 
 
 

 

 

 

 

Vient d’être publié au Journal Officiel, le “Décret n° 2017-1230 du 3 août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire”.

 

 

 

Selon le gouvernement, ce décret «améliore la lutte contre les manifestations de racisme, de sexisme et d’homophobie pouvant se produire dans des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements scolaires. Il renforce à cette fin la répression des contraventions de provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe» et «élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime, afin de mieux lutter contre la transphobie, et il substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de “prétendue race” comme cela a été fait dans les dispositions législatives du code pénal par la loi du 27 janvier 2017».

 

 

 

 

Ainsi, plutôt que de protéger les citoyens français des attaques quasi quotidiennes de la part d’“Allahouakbars” armés de couteaux ou au volant de fourgon fonçant sur la foule, plutôt que d’enrayer le déferlement migratoire sans précédent de clandos qui se métastasent plus vite qu’un cancer foudroyant, la priorité de ce gouvernement édouard-philippard présidé par le petit Cron est de punir la parole privée, celle de ceux qui pensent qu’il y a des races, que la religion musulmane est une religion de guerre, de haine et d’intolérance, qu’il y a des hommes et des femmes et pas de troisième genre .

 

 

 

 

Les raisons de ce choix sont essentiellement idéologiques: l’ultra libéralisme a besoin des clandestins et du communautarisme pour régner.

 

 

 

 

Nous voilà donc interdits de nous exprimer sur Conchita Saucisse (Wurtz, en allemand),

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sur le look de quelques individus qui déambulent dans nos rues,

 

 

 

 

 

 

 

sur l’existence de races humaines…

 

 

 

 

 

 

 

Evidemment, le but est taper sur la France périphérique, de congeler définitivement la liberté de penser et de s’exprimer chez les Français de souche, de faire disparaître la lucidité des citoyens, de punir l’esprit critique face à un monde que les prétendues élites sont en train d’édifier contre nous.

 

 

 

 

La bien-pensance appelle systématiquement racistes ceux qui constatent la malchance qu’est, pour leur pays, l’arrivée des hordes barbares, le ramollissement cérébral provoqué par la mainmise de la théorie du genre sur notre quotidien (particulièrement dans l’éducation).

 

 

 

Pour anéantir ces perturbateurs “endoctriniens”, elle envoie maintenant sa police de la pensée et ses petits juges “mur des cons” dans ce qu’elle nomme le «domaine non public», autrement dit, les conversations privées.

 

 

 

Ce gouvernement de peigne-culs devrait demander bientôt l’installation de micros et de caméras dans les murs des habitations en attendant la mise au point d’implants crâniens détecteurs de phobies.

 

 

 

Les associations liberticides (LDH, Licra et compagnie) vont envoyer toujours plus de Français devant les tribunaux pour se faire tranquillement du fric.

 

 

 

Bientôt l’Allemagne de l’Est, l’URSS, la Chine de Mao, paraîtront des paradis déchus de la liberté d’expression par rapport à la France macroniste.

 

 

 

A quand  Le Grand Remplacement de Renaud Camus, Le terrorisme intellectuel de Jean Sévilla, Le suicide français d’Eric Zemmour, Le Camp des Saints de Jean Raspail, A contre Coran de Jack-Alain Léger, Le choc des civilisations de Samuel Huntington, La rage et l’orgueil d’Origan Fallaci et tant d’autres, brûlés en place publique sous le doux regard d’Edouard Philippe ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marcus Graven

 

 

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20/04/2018

Christianisme contre capitalisme ? : L'économie selon Jésus-Christ:

 

 

 

 

 

 

 

de Falk van Gaver

 

 

Le propos est littéralement décapant

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
Docteur en droit, journaliste et essayiste
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Il est dit et proféré beaucoup de choses à l’encontre du christianisme – et, d’une manière générale, vis-à-vis des trois religions monothéistes – convaincu, notamment, d’avoir permis l’arraisonnement de la Terre par l’homme. L’accusation porte même tellement loin qu’elle rend même le christianisme coupable de toutes les turpitudes écologiques, à commencer par les dérèglements migratoires causés par les transferts volontaires massifs de populations du Sud vers le Nord. Que l’on nous permette, à l’occasion de cette chronique, de battre en brèche ces sombres préjugés qui traduisent, bien souvent, une méconnaissance fondamentale de la Bible.

 

 

 

 

Pour ce faire, nous nous appuierons sur un récent et stimulant petit essai interrogeant la relation du christianisme avec le capitalisme et sous-titré L’économie selon Jésus-Christ ». Son auteur, Falk van Gaver, jeune écrivain à la déjà impressionnante bibliographie – on lui doit, notamment, outre ses récits de voyages, un très instructif AnarChrist ! Histoire de l’anarchisme chrétien –, nous livre, ici, une réflexion percutante et corrosive sur notre rapport – en tant que chrétien – au marché. Véritable éloge de la simplicité volontaire, l’opus plaide, tout à la fois, pour une décroissance inconditionnelle et totale – en ce qu’il invite à décoloniser tant le corps que l’âme de toute tentation fétichiste de la marchandise – comme pour une impérieuse et salvatrice écologie intégrale qui se veut radicalement révolutionnaire.

 

 

 

 

Assurément, le propos est littéralement décapant. L’auteur, sur les traces du saint martyr Óscar Arnulfo Romero, en appelle à renouer avec une authentique théologie de la libération, « un courant méconnu et incompris en Europe, vu longtemps à travers le prisme déformant de la guerre froide et du communisme marxiste-léniniste ». Le message est simple, quoique éminemment exigeant et ne souffrant aucun accommodement ou petits arrangements dont nous sommes tous coutumiers : « Suivre pauvre le Christ pauvre, suivre nu le Christ nu » car, « pour le théologien de la libération, il ne s’agit pas moins que de prendre au sérieux l’Évangile annoncé aux pauvres – et non pas l’Évangile qui plaît à la bourgeoisie ».

 

 

 

 

Puisant aux meilleures sources – quand bien même elles ne seraient pas toutes explicitement citées, mais l’auteur a prouvé par ses écrits antérieurs qu’il était remarquablement inspiré –, de Bloy à Ellul, en passant par Thoreau, Proudhon, Péguy, Simone Weil ou Gustave Thibon, sans oublier l’Évangile ou les encycliques pontificales, l’auteur en appelle à un eudémonisme de la liberté : « Le bonheur est dans la liberté, autosuffisance qui passe par l’autolimitation. Se contenter, c’est être libre et content. » Point de cilice ou de propitiatoires flagellations, mais une ode à la joie de la Création.

 

 

 

 

 

Fustigeant « les faux amis de l’écologie chrétienne », l’essayiste en tient résolument pour une écologie chrétienne qui rompt inexorablement ses liens avec le capital apatride et mondialisé et, d’une manière générale – car tout ce qui gravite autour de lui est intrinsèquement lié –, avec tout ce qui concourt à déshumaniser l’homme en le rendant étranger à lui-même et au monde. Cette écologie de la profondeur humaine se veut, dans le même temps, une écologie de l’élévation de l’homme à sa plus complète dignité.

 

 

 

 

 

 

Foin de tout clivage artificiel entre une pseudo-droite, une pseudo-gauche et un non moins pseudo-« parti écologiste », « il s’agit véritablement pour les catholiques de se convertir à l’écologie, mais également de convertir l’écologie ». Sur ce point, Falk van Gaver rappelle opportunément l’impératif de cohérence.

 

 

 

 

 

 

Tout écologiste – a fortiori chrétien, cela va sans dire – ne peut vouloir, dans un relativisme complaisant, et l’avortement de masse et l’immigration du même tabac. Si cette dernière s’apparente, comme aux funestes temps de l’Union soviétique, à de monstrueux et dramatiques transferts de populations déracinées – la volonté tient une part subsidiaire quand on s’exile de son pays –, le premier est « un véritable eugénisme d’État, digne d’Aktion T4, le programme national-socialiste d’euthanasie des handicapés ». Imparable.

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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